Hundreds of Polisario Front Fighters Reportedly among Qaddafi’s Mercenaries Arrested by Liberation Forces in Libya
WASHINGTON, Aug. 26, 2011 /PRNewswire-USNewswire/ — This week, following the largely complete take-over of Tripoli by the opposition forces of the Libyan National Transitional Council (NTC), new reports have surfaced that more than 500 of Moammar Qaddafi’s mercenaries who were captured and arrested are members of the Polisario Front.
These reports follow earlier claims this Spring that the Polisario Front, an Algerian-backed separatist movement, was supplying fighters to Qaddafi’s forces who were actively engaged in combat with US and NATO troops attempting to protect Libya’s civilians. The Polisario has fought for decades with Morocco over the future of the Western Sahara.
According to these new reports, high-ranking NTC officials revealed that Polisario fighters were captured in Bab El Aziziah, Qaddafi’s military headquarters in Tripoli, and they intend to capture “the remaining Polisario elements still at-large in Libya.”
The new reports can be found at: http://www.middle-east-online.com/english/?id=47816
“The growing evidence that members of the Polisario Front are aiding Qaddafi’s forces who are fighting against U.S. and NATO peacekeepers is outrageous and disturbing,” said Ambassador (ret.) Edward M. Gabriel, President of the Moroccan American Center. “If these reports are true, the Polisario Front and any other groups that seek to destabilize the region—and threaten US interests and allies—must be held accountable by the international community for their actions.”
The Moroccan American Center for Policy (MACP) is a non-profit organization whose principal mission is to inform opinion makers, government officials and interested publics in the United States about political and social developments in Morocco and the role being played by the Kingdom of Morocco in broader strategic developments in North Africa, the Mediterranean, and the Middle East. For more, please visit www.moroccanamericanpolicy.org
This material is distributed by the Moroccan American Center for Policy on behalf of the Government of Morocco. Additional information is available at the Department of Justice in Washington, DC.
Chute de Kadhafi : l’onde de choc ébranle le Polisariohttp://www.droits-humains.org/index.php?option=com_content&view=article&id=151:chute-de-kadhafi-londe-de-choc-ebranle-le-polisario-&catid=1&Itemid=19
Mohamed Abdelaziz, en plein désarroi après la brusque chute de Tripoli, a regagné précipitamment les camps de Tindouf, le QG du Polisario dans l’ouest algérien, écourtant un séjour de détente en Italie puis sur la Costa Del Sol. Des sources dans les campements de Tindouf ont révélé qu’aussitôt arrivé en début de semaine, il a réuni d’urgence la direction du Front, en lutte contre le Maroc pour le contrôle du Sahara Occidental.
Le retour précipité du vieux loup du désert est largement justifié. La direction du Polisario sait que les soucis du Front ne font que commencer. Avec la chute de Kadhafi, l’ami de toujours, c’est la fin de l’aide fournie généreusement par un allié inconditionnel. Les mêmes sources ont révélé que la réunion de la direction du Polisario, présidée par Mohamed Abdelaziz a longuement discuté des moyens de combler ce manque à gagner.
Le retour précipité du vieux loup du désert est largement justifié. La direction du Polisario sait que les soucis du Front ne font que commencer. Avec la chute de Kadhafi, l’ami de toujours, c’est la fin de l’aide fournie généreusement par un allié inconditionnel. Les mêmes sources ont révélé que la réunion de la direction du Polisario, présidée par Mohamed Abdelaziz a longuement discuté des moyens de combler ce manque à gagner.
Toutefois, le sujet le plus embarrassant et qui a quasiment monopolisé les discussions est celui des combattants du Polisario arrêtés par les rebelles libyens. Ils sont à présent aux mains du Conseil National de Transition libyen (CNT). Des centaines d’entre eux, envoyés prêter main forte au colonel dès le début de l’insurrection libyenne, ont été faits prisonniers. Dans les campements de Tindouf, les familles de ces desperados assaillent les dirigeants du Polisario. Ils veulent à tout prix des nouvelles de leurs proches perdus dans le bourbier libyen. La marge de manœuvre est toutefois réduite pour la direction du Polisario. La possibilité de négocier leur libération n’est même pas envisagée, le CNT libyen ayant ouvertement affiché son hostilité au Polisario pour son soutien au dictateur déchu.
La situation est d’autant plus accablante pour les dirigeants du Polisario qu’ils ne peuvent pas non plus compter sur l’allié algérien. Depuis l’écroulement du régime du colonel, les responsables algériens eux-mêmes ne savent plus comment gérer l’accélération des événements à leur frontière Est. Accusées par le CNT libyen, Blâmées par leur propre opinion publique et leurs médias, les autorités algériennes n’ont pas d’argument pour justifier leur soutien jusqu’à la dernière minute au dictateur de Tripoli.
La situation est d’autant plus accablante pour les dirigeants du Polisario qu’ils ne peuvent pas non plus compter sur l’allié algérien. Depuis l’écroulement du régime du colonel, les responsables algériens eux-mêmes ne savent plus comment gérer l’accélération des événements à leur frontière Est. Accusées par le CNT libyen, Blâmées par leur propre opinion publique et leurs médias, les autorités algériennes n’ont pas d’argument pour justifier leur soutien jusqu’à la dernière minute au dictateur de Tripoli.
19 agosto 2011
Exclusif : un bataillon de combattants du Polisario revient de Libye
http://www.polisario-confidentiel.com/news/1/186-exclusif--un-bataillon-de-combattants-du-polisario-revient-de-libye.html
Selon des informations fiables recueillies par « Polisario Confidentiel » auprès d’un haut dirigeant du Front , près d’une centaine de combattants envoyés pour prêter main forte à Mouammar Kadhafi seraient rentrés à Tindouf dans la nuit de vendredi dernier, empruntant la voie terrestre et escortés par l’armée algérienne.
Fourbus, épuisés par plusieurs semaines de combat intensif, ces mercenaires sont venus se reposer quelques jours avant de repartir auprès du guide de la révolution libyenne, qui les rémunère à hauteur de 500 dollars américains par jour.
Selon le commandement unifié de l’OTAN, dans un rapport confidentiel dévoilé par le journal anglais Daily Telegraph, ce serait plusieurs milliers de soldats du Polisario qui se seraient rendus en Libye auprès de Kadhafi, et ce avec l’assentiment de l’armée algérienne qui les a assistés pour traverser la frontière via un corridor discret et sécurisé. Selon les informations qui ont pu être recueillies auprès du bataillon de combattants du Polisario qui viennent de revenir de Tripoli, ils seraient encore près de 2500 sahraouis de Tindouf à encore officier pour la protection de la capitale Libyenne, désormais encerclée par les rebelles. Les militaires algériens qui escortaient le bataillon du Polisario seraient quant à eux rémunérés « entre 5000 et 10 000 dollars US » pour chaque convoi qu’ils escortent jusqu’à la frontière libyenne, toujours selon la même source. Cependant, les militaires algériens s’inquièteraient du fait que la communauté internationale ait menacé Alger de sanctions si jamais des éléments matériels de sa collaboration avec Kadhafi venaient à être rendus publics. Les militaires ont ainsi conservé les cartes d’identité des combattants du Polisario, promettant de leur rendre « dès leur retour ». L’autre facteur d’inquiétude croissant des algériens est la naissance d’un trafic d’armes libyennes en direction du sahel et d’Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) , auquel participerait une faction du Polisario qui connaît les chemins du désert.
Libye : la parade du Polisario pour soutenir Kadhafi
Le Polisario a trouvé la parade pour apporter son soutien au colonel Kadhafi sans se faire trop remarquer. Au lieu d’envoyer ses combattants directement de ses bases en Algérie vers la Libye, le Polisario opté à présent pour faire un détour jusqu’au nord du Mali. A partir de là, ses éléments sont convoyés parmi des contingents d’autres mercenaires africains en partance pour la Libye. Selon des sources maliennes fiables, le Polisario a changé de tactique en disséminant ses combattants dans les rangs des mercenaires africains afin d’éviter qu’ils soient repérés. La direction du Polisario avait été embarrassée au tout début de la révolte par les révélations des insurgés libyens et de leurs dirigeants à l’étranger. Ces derniers avaient énergiquement dénoncé la présence d’éléments du Polisario aux côtés des troupes de Kadhafi.
Les mêmes sources précisent que les motivations des éléments du Polisario sont différentes des mercenaires africains. Dans le cas de ces derniers, des intermédiaires se chargent du recrutement et du regroupement des recrues qui sont ensuite envoyées combattre dans les rangs des troupes restées fidèles au colonel. Dans ces régions désertiques aux confins du Mali, du Niger et du sud de l’Algérie, Kadhafi a la main longue depuis les années 80. Grâce à la manne des pétrodollars, le dictateur libyen a su tisser tout un réseau d’affidés vers lesquels il se tourne aujourd’hui qu’il se trouve sur le fil du rasoir. Quant aux mobiles du Polisario, ils sont plus anciens et plus compromettants. L’imprévisible dictateur libyen était, aux côtés de l’Algérie, le principal soutien militaire et financier du Polisario. Le front séparatiste menait alors une guerre sanglante contre les troupes royales marocaines dans les années 70 et 80 du siècle dernier. Aujourd’hui, le soutien du Polisario au colonel vacillant sonne comme une reconnaissance de dette bien comprise.
La storia di Polisario
Le régime libyen a enrôlé des mercenaires européens (dont des Itatiens) pour réprimer les manifestations en Libye ont rapporté vendredi des médias italiens à Rome. 'Au moins quatre ou cinq Italiens sont actifs en Libye en tant que mercenaires dans les rangs des milices de Kadhafi'', a affirmé sous couvert d'anonymat, un ancien militaire à l'agence de presse italienne ANSA.
La source a travaillé comme agent de sécurité dans une société de sécurité privée pendant des années dans plusieurs zones de crise, selon l'agence. ''Personnellement, je connais ces gens et je sais qu'ils ont quitté ces derniers jours'', a-t-il poursuivi, sans dire, précise l'agence, s'ils ont quitté individuellement ou s'ils sont sous contrat avec une certaine organisation.
"Je ne dirai rien d'autre", a ajouté l'ancien militaire, pour qui ''ces choses ne devraient pas être rendues publiques". A propos des mercenaires recrutés en Libye, l'agence fait savoir qu'"ils sont responsables des atrocités les plus terribles, des viols, des mutilations et des violence contre les personnes blessées et des prisonniers". Ces mercenaires recrutés par des régimes énormes ont été vu en ex-Yougoslavie, au Darfour, en Irak, souligne cette source, précisant que "maintenant, ils sont en Libye, enrôlés par Mouammar Kadhafi pour arrêter la progression de l'insurrection.
La plupart d'entre eux sont Africains, mais certains sont venus d'Europe. Et il y a aussi des mercenaires italiens". Les médias italiens citent notamment le site d'un parti libyen d'opposition, Al Manara, basés à l'étranger, pour qui "il existe des Italiens parmi les mercenaires pro-Kadhafi".
Pour cette source, parmi "ceux qui ont été capturés (jeudi) par les rebelles après avoir attaqué la ville de Zawia, sur la côte ouest de Tripoli, où des affrontements violents se sont déroulés, il y a des Libyens mais aussi d'autres nationalités arabes et européens, y compris les Italiens et les gens de l'Est de l'Europe''.
Pour ces médias, les nouvelles de la présence de mercenaires en Libye, y compris les Italiens, ont été le "soucis" de la vice-présidente du Sénat italien Emma Bonino, qui en a informé ses collègues du Sénat. Ils ont cité également, le témoignage de Mohammed Abuelgasin, un réfugié du Darfour et représentant en Italie du Mouvement de libération du Soudan, qui a expliqué au Sénat que "les mercenaires engagés par Kadhafi sont les mêmes personnes qui ont bombardé nos villages et tué nos familles au Darfour. Maintenant, ils font la même chose en Libye".
ANSA citant un tabloïd serbe, rapporte par ailleurs, la présence en Libye de mercenaires serbes, appelés les "chiens de guerre'', et qui "se déplacent partout où ils sont nécessaires pour répandre la terreur et verser le sang". Les mercenaires serbes "sont les premiers à (être) arrivé en Libye contre des dizaines de milliers de dollars. Ils ont travaillé dans les pays africains à former les forces armées locales ou les gardes du corps des dictateurs-présidents, comme Mobutu au Zaïre. Ils sont anciens soldats, d'anciens policiers, anciens membres des "Bérets rouges», l'unité spéciale créée par Slobodan Milosevic", écrit notamment, l'agence.
Des éléments du polisario parmi les mercenaires recrutés par le régime libyen en Afrique, souligne un journal italien
http://www.actu-maroc.com/international/amerique/5294--des-elements-du-polisario-parmi-les-mercenaires-recrutes-par-le-regime-libyen-en-afrique-souligne-un-journal-italien.html
Des éléments du polisario figurent parmi les mercenaires recrutés par le régime libyen en Afrique, affirme mardi le quotidien italien à large diffusion "Corriere Della Sera"."Le régime du colonel Kadhafi dispose encore dans la ville de Sebha (au sud du pays) d'une réserve d'hommes et de moyens retranchés dans la base où sont arrivés les éléments recrutés en Afrique et dont font partie des guérilleros du polisario", écrit le journal dans un article sous le titre "les trois +cercles de feu+ pour la défense du colonel".
"Ses soldats d'aventure" sont rémunérés à 30 dollars la journée", précise l'article signé par le correspondant du journal à Washington Guido Olimpio et l'opposant libyen Farid Adly .
Le ministre libyen démissionnaire en charge de la diaspora, Ali Errishi avait déjà affirmé, en février dernier, que des mercenaires du Polisario figuraient parmi les marchands de la mort qui se sont infiltrés en Libye pour y semer la terreur et faire plier la révolution libyenne.
"Le porte-parole du conseil national de transition en Libye, le ministre de la justice démissionnaire, Mustapha Abdeljalil Boudjaj, avait annoncé que parmi les mercenaires qui se sont infiltrés en Libye figurent des Maliens, des Nigériens, des Ethiopiens et malheureusement des mercenaires du polisario", avait-il souligné.
Il s'était également dit "Profondément désappointé et attristé face à l'hypocrisie des mercenaires du polisario qui prennent part à une telle entreprise vicieuse et destructrice, eux qui se présentent pourtant comme des combattants de la liberté".
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