domenica 31 luglio 2011

Tunisie, Ramadan : Le mufti de la République recommande la fermeture des cafés


Au cours d’une émission spéciale, sur la chaîne Al Wataniya1, diffusé ce soir, dimanche 31 juillet 2011, le mufti de la République, Cheikh Othman Batikh, a recommandé, dans le cadre du respect des croyances et des libertés de chacun d’éviter l’ouverture des restaurants et des cafés, au cours du mois de Ramadan.
Selon le mufti, les touristes disposent librement de cafés et de restaurants dans des lieux fermés (les hôtels) et n’ont pas forcement besoin des établissements de restauration en ville.
Sur le même sujet, pourtant, M.Laroussi Mizouri, ministre des Affaires religieuses, avait, récemment, insisté sur la nécessité de respecter la liberté individuelle, au cours du mois de Ramadan, notamment en ce qui concerne l’ouverture des établissements publics à caractère touristique, comme les restaurants et les cafés touristiques, mettant en exergue l’attachement constant de la Tunisie aux valeurs de tolérance et au droit de différence.

CITEC 2011, le Salon de la Créativité et de l’Innovation Technologique


La 8e édition du Salon de la créativité et de l’innovation technologique qu’organise depuis 2004 l’Université de Sousse, à la Foire internationale de Sousse, Citec 2011 se tiendra cette année du 10 au 13 novembre, c’est ce qu’affirment le site "Tunisia IT" et la Foire internationale de Sousse. Cette manifestation est organisée en partenariat avec le Pôle de compétitivité de Sousse, la Coopération technique allemande (GTZ) et les structures d’appui de la région.


CITEC 2011, le Salon de la Créativité et de l’Innovation Technologique
Luogo: Foire internationale de Sousse
Ora: giovedì 10 novembre 2011 0.00.00

Programma del Festival Della Medina 2011 ; 29a edizione




- Au Théâtre municipal:

Samedi 6 août : Syrine Ben Moussa (en ouverture)
Dimanche 7 août : Amel Mathlouthi
Lundi 8 août : Chouyoukh Salatine Ettarab (Syrie)
Mardi 9 août : Dee ray et dreams Ladies Orchestra
Mercredi 10 août : C.Salatine Ettarab (Syrie)
Jeudi 11 août : Rym El Banna (Palestine)
Vendredi 12 août : Darvish Khan (Iran)
Samedi 13 août : Slah Mosbah
Dimanche 14 août : Parfum d'Arménie (ballet)
Mardi 16 août : Nicole Slack James (Gospel)
Jeudi 18 août : Lotfi Bouchnak
Vendredi 19 août : La Rachidia
Samedi 20 août : Dorsaf Hamdani
Dimanche 21 août : Raghunet Manet (Inde)
Lundi 22 août : El Tannoura, danse et musique du soufisme (Egypte)
Mardi 23 août : Gitano family (Espagne)
Jeudi 25 août : Llapaku (Bolivie)
Samedi 27 août : (Clôture) Saber Rebai

- Bir Lahjar

Lundi 8 août : Wassim(D'istabul à Tunis)
Mercredi 10 août : Fonia (Tunisie)
Mardi 16 août : Dima Dima de Yasser Jradi
Mercredi 17 août : Latif Boulat (Turquie)
Vendredi 19 août : Rythmes bédouins de Walid Gharbi Lundi 22 août: Ajrass
Mardi 23 août : El Tannoura (Egypte)

- Club Tahar Haddad

Du 13 au 18 août : La médina fait son cinéma
Vendredi 19 août : Soleil de la méditerranée de Zied Fatnassi

La super nonna

La super nonna 110 anni.
Nel mese di luglio avevamo trovato un'intervista si una super nonna alla quale si chiedeva se fosse andata a votare in occasione delle elezioni. Coraggiosa e lucida aveva detto che se qualcuno l'avesse accompagnata sarebbe andata volentieri. Ecco l'incontro:

http://www.facebook.com/video/video.php?v=248152231876370


Oggi la super nonna è andata a votare. La TV è ritornata a riprendere il momento del voto. Brava! Un grande esempio per tutti.

https://www.facebook.com/video/video.php?v=288540361170890


Libye : à la rencontre des insurgés armés par la France ( un texte de Bernard-Henri Lévy, Le JDD, 24 juillet 2011)

Notizia dalla Libia 31.07/ Dernière info : Bernard Henry Levy est parti de Misrata vers Benghazi afin d'inspecter la situation des rebelles sur place. Mais il a du s'enfuir aussitôt sur un frégate militaire proches des côtes libyennes lorsqu'il a vu que la situation a dégénéré et qu'un grand nombre de tribus se sont révoltés pour renverser le Conseil National de Transition (CNT).

Reportage del suo viaggio del 24.07
À 50 kilomètres de la frontière tunisienne, au cœur dudjebel Nefousa, la caserne de Jweibya, à mi-chemin de la ville arabe de Zintan et de la ville berbère de Nalout. Ce sont 200 chars comme ceux-ci qu’y a laissés, dans sa déroute, l’armée de Kadhafi. Sauf qu’ils présentent une particularité, ces chars, qui, lorsqu’ils en ont pris possession, ont plongé les insurgés dans la perplexité : à tous manque le même « percuteur » qui leur permet, en principe, de tirer. Que s’est-il passé? Sabotage de la part d’une troupe adepte, comme partout dans le djebel, de la politique de la terre brûlée et qui aurait trouvé le temps, avant de se replier, de démonter les 200 percuteurs (on nous en montre vingt, repêchés dans un bassin)? Ou bien les tanks ont-ils toujours été comme cela -Kadhafi se méfiant de ses propres soldats et accumulant les armes sophistiquées comme autant de jouets merveilleux mais cassés (ou comme autant de leurres, d’armes fantômes, absurdement trafiquées et, d’emblée, hors d’usage)?
C’est la route de Gharian, le dernier verrou avant Tripoli. C’est la route normale. Celle qui file sur la crête, laissant à sa droite et à sa gauche toutes les villes de la région comme pour bien signifier que les artères, dans ce DjebelNefoussa_09pays, étaient moins faites pour circuler que pour quadriller, contrôler, occuper l’espace intérieur (des routes pour les chars, pas pour les gens…). Et voilà qu’ici, à Al-Rehebat, une flèche jaune, puis un double zéro peint en blanc, indiquent que le macadam devient, sur 2.600 mètres, jusqu’à cette autre ligne, rouge celle-là, derrière le combattant à la cartouchière en train de crier « vive la France! », une piste d’atterrissage. Il était 18 heures quand l’avion s’est posé (en provenance deBenghazi); 19 heures quand il a redécollé (reprenant à son bord une vingtaine de survivants de Jabrah, l’une des villes les plus systématiquement bombardées par Kadhafi). Entre-temps, il aura déchargé une trentaine de caisses bâchées kaki que des hommes légèrement armés ont entassées dans des pick-up filant, aussitôt, sur Zintan, la capitale de la zone. Nous sommes les premiers à être témoins de cette scène. Elles sont peut-être là, les fameuses livraisons de matériel militaire dont la France a fait état le mois dernier.
DjebelNefoussa_17On trouve tout dans les ruelles de Zintan où nous a conduits le colonel Mokhtar Khalifa, commandant en second de la défense de la ville et qui nous a accompagnés toute la journée, un Coran dans une main et un colt dans l’autre. On trouve des caisses de munitions vides empilées dans une cage d’escalier. Un cylindre de fer blanc, 50 centimètres de hauteur, 20 de diamètre, étiqueté « 1 igniter for napalm bomb », qui a été retrouvé dans un fortin de Bir Ghanam et qui semble indiquer que Khadafi dispose de la plus sale des armes sales. Et puis des pick-up comme celui-ci où ont été oubliées des roquettes de fabrication russe probablement prises, elles aussi, à Kadhafi. Le djebel Nefousa ne manque plus vraiment d’armes. Il a quelques-uns des meilleurs combattants de la Libye libre mais il a aussi des armes, tantôt prises à l’ennemi, tantôt livrées par la coalition. Ce qui manque, alors, à ces hommes pour descendre dans la vallée et marcher sur Tripoli? « Le feu vert de l’Otan », nous a dit Ousama Djewel, le supérieur du colonel Khalifa. Et le renfort de Misrata dont les troupes, à l’est, prendront, avec eux, la capitale en tenailles.
Zintan encore. Une école transformée en prison militaire. Nous avons pris l’élémentaire précaution, avant d’interroger ces hommes, de faire sortir leurs geôliers. Pas de récits faisant état de mauvais traitements. Des DjebelNefoussa_21plateaux-repas en plastique qui arrivent pendant que nous sommes là -riz, poisson pané, poivron. Et un témoignage au moins qui dit une unité de chars avançant vers une tranchée rebelle avec, sur ses arrières, autant de snipers que de tankistes (ceux-ci menaçant ceux-là de les abattre à la moindre velléité de recul ou de fraternisation avec l’ennemi). Dans la pièce voisine, il y a d’autres prisonniers, en nombre égal, mais venus, eux, du Niger, du Tchad, du Soudan. Une indication sur la proportion des mercenaires dans l’armée dite « loyaliste »? L’aveu d’un Kadhafi s’entourant, tel les rois normands de Palerme, d’une garde sarrazine dont il sait qu’elle n’aura, elle, d’autre choix que de se battre jusqu’au bout?
DjebelNefoussa_30C’est le poste le plus avancé de la première ligne de front, 60 kilomètres après Zintan, à Goualich. Ces hommes sont des civils qui ont récupéré leurs uniformes sur des kadhafistes prisonniers. Comme leur cinquantaine de camarades hors champ mais qui tiennent la ligne avec eux, ils ont été formés au camp, voisin, de Jadu. Ils n’avaient, avant cette guerre, jamais touché une arme de leur vie. Et c’est pourtant eux qui, la nuit dernière, Arabes et Berbères en nombre presque égal, au coude-à-coude, ont, au terme d’un combat acharné, déjoué l’assaut des kadhafistes et les ont repoussés jusqu’à Al-Assabah, après la vallée, sur le promontoire d’en face. Le front, en cette fin d’après-midi, est plus calme. Les insurgés, qui se sont arrêtés pour prier, vont, dans une heure, depuis une pièce d’artillerie cachée, à droite, de l’autre côté du poste de guet, tirer trois roquettes. Ils essuieront deux tirs en retour, plus puissants mais trop longs. Hors champ aussi, Ali Zeidan, émissaire du Conseil national de transition, qui est venu, avec moi, signifier l’autorité de Benghazi, vient de faire un discours appelant à l’unité de tous les groupes de résistance et des fronts. C’est l’heure des adieux et je suis là, en train de m’engager à me faire l’écho, comme Ali, à mon retour, mais auprès de l’opinion et des institutions de mon pays, de cette volonté unitaire et de cette détermination à vaincre.
Kabao. Tombée du soir. C’est la rue principale d’une localité qui fut l’une des plus belles de la région. Elle comptait 10.000 habitants avant la guerre. Dans les greniers de boue séchée, de gypse et de pierre rouge non DjebelNefoussa_36taillée de la vieille ville, se tenait, chaque année, un festival de culture berbère. Aujourd’hui, c’est une ville morte. Pas une maison d’hôtes. Pas un commerce. Une station-service à demi-détruite, dont il a fallu chercher le pompiste jusqu’à minuit pour, à la fin, négocier cinq bidons qui nous ramèneront jusqu’à la frontière. Ali, l’ami qui nous conduit depuis Djerba et qui semblait si impatient de nous montrer sa ville, la voit soudain avec nos yeux et semble s’excuser : « Je n’ai plus de voisins, c’est vrai ; et moi-même, j’avoue que j’ai mis ma famille à l’abri, en Tunisie ; mais il en faudrait peu pour que renaisse Kabao; si peu, que l’Otan bombarde, par exemple, les pièces d’artillerie qui, depuis Al-Jawsh et Tiji, l’ont réduite à cet état de ruines et continuent de la tenir sous le feu – écoutez.. » La guerre n’est pas finie. Le djebel Nefousa n’est encore, à Kabao, que l’ombre -vive- de la Libye libre.

29 luglio Medeninne: pensando ai piu' poveri

Medeninne: preparazione degli scatoloni con i doni per le famiglie in occasione del Ramadan. Hanno partecipato numerose associazioni internazionali con la coordinazione della CRT.










sabato 30 luglio 2011

Ramadan en Libye

Le Conseil National de Transition a annoncé le début du Ramadan pour lundi, dans toute la Libye.

A Tripoli il primo giorno di Ramadan sarà martedi.

Les habitants de l'Est libyen privés d'argent avant le ramadan



A l'approche du ramadan, des centaines de Libyens de Benghazi, "capitale" des rebelles dans l'Est libyen, tentent chaque jour de retirer de l'argent. Mais ils reviennent le plus souvent les mains vides, les banques étant confrontées à une crise de liquidités.

Une centaine de personnes sont assises ce jeudi sur les marches de la banque BNP, priant pour être appelées à l'intérieur.

"Cela fait cinq jours que je viens et je n'ai pas encore eu d'argent", déplore un policier à la retraite.

"C'est honteux, le ramadan arrive. Nous avons des besoins supplémentaires, mais il n'y a pas d'argent", s'emporte Yasmine Mouhammad, 62 ans, qui explique que les grandes familles peuvent dépenser jusqu'à 3.000 dinars libyens, soit 10 fois le salaire moyen d'un fonctionnaire, pendant le mois sacré musulman.

Selon Najit Ali, mère de six enfants, "il n'y a pas d'argent ou de salaires depuis avril". "Nous allons supporter (cette épreuve) car Dieu est généreux, mais je suis inquiète. La vie est difficile, plus rien n'est pas bon marché désormais", ajoute cette femme de 35 ans.

Si elle fait la queue devant la banque depuis dix jours, certains sont là depuis des semaines. La majorité n'a pas reçu un centime de leurs salaires depuis mars ou avril, tandis que d'autres n'en ont perçu qu'une faible part, les retraits bancaires étant souvent limités à 100 ou 200 dinars libyens par personne.

"Dieu merci, Kadhafi nous a habitués à la pauvreté!", plaisante Ahmad Misrati, un chauffeur. "Les gens qui dépendent de l'Etat et n'ont pas de deuxième emploi sont les plus durement touchés, cela représente un tiers de la population", estime-t-il.

Une employée de banque, s'exprimant sous couvert de l'anonymat, reconnaît la gravité de la situation: "Les gens viennent de toute la Libye libérée pour de l'argent. Mais il n'y en a pas. Personne ne sait où est notre argent. Que pouvons-nous faire?"

Pour Hamed Salhin El-Raeid, de la Banque du Commerce et du Développement, le problème de liquidités s'explique en partie par le fait que de nombreuses banques ont une partie importante de leurs fonds dans leurs succursales à Tripoli, capitale sous contrôle du dirigeant Mouammar Kadhafi.

Une loi impose également aux banques de conserver 20% de leurs actifs à la banque centrale de Tripoli.

Autre difficulté, selon lui: l'attitude des commerçants. "A Benghazi, les gens utilisent du liquide pour acheter des marchandises. Mais les commerçants ne placent plus cet argent à la banque".

"Nous attendons que la communauté internationale aide notre Conseil de transition (CNT, organe politique de la rébellion) à ouvrir des comptes à l'étranger, ce qui nous permettrait d'ouvrir des lettres de crédit, ou à autoriser le secteur privé à importer des biens lui-même", poursuit-il.

Le chef du CNT, Moustafa Abdeljalil, a expliqué à des journalistes à Benghazi qu'il espérait verser des salaires début août, pour le début du ramadan.

"On entend toujours qu'il y aura de l'argent, on continue à venir mais il n'y a rien", dit Fadila Hamad, 62 ans, venue chercher sa pension de veuvage et l'allocation de sa fille handicapée.

"C'est sûr que ce ramadan sera bien plus dur que les autres: on est en guerre et on n'a pas d'argent", explique Hussein Mohammad, un policier qui attend lui aussi d'être payé par l'Etat. "On est libres mais fauchés", plaisante Farah al-Misrati.

D'autres soulignent que du temps de Kadhafi, les payes étaient "toujours en retard, parfois de six mois".

Personne ne semble en vouloir au CNT, qui n'a toujours pas touché un centime des fonds gelés à l'étranger débloqués, comme le répète M. Abdeljalil.

"La solution doit venir de l'extérieur, dit Khaled al-Mabny. Nous avons des fonds gelés partout dans le monde. Les Libyens sont riches".

Ramadan: lundi 1er août 2011 premier jour



Après observation du croissant de lune, aujourd'hui, il a été annoncé à 20h à la Télévision nationale, qu'il avait été impossible de vérifier avec exactitude le croissant lunaire.Le mufti de la République, Cheikh Othman Battikh, vient d’annoncer que le lundi 1er août 2011, est le premier jour du mois saint de Ramadan de l’année 1432 de l’Hégire.


Les inscriptions prolongées au 14 août pour atteindre les 7,5 millions d’électeurs


Pour permettre à plus de citoyens tunisiens de s’inscrire sur les listes électorales, l’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE), et à sa tête Kamel Jendoubi, a décidé de repousser la date limite des inscriptions au dimanche 14 août, soit douze jours de «sursis» en plus. Mais ce prolongement va-t-il pousser les Tunisiens, retardataires volontaires, à se précipiter vers les bureaux d’inscription ?
Pour Kamel Jendoubi, ce prolongement devrait «permettre au maximum de citoyens de s’inscrire et, par voie de conséquence, de contribuer à faire réussir le scrutin du 23 octobre 2011».
Ainsi et pour faciliter les inscriptions, les bureaux devraient être ouverts tous les jours, y compris les dimanches, de 8 heures du matin à 16 heures de l’après-midi sans interruption.
Le président de l’ISIE a déclaré que «1.800.000 citoyens se sont inscrits jusqu’à présent». En fait, à l’heure où nous publions il est exactement de 1.758.778.
Ce changement aura-t-il des conséquences sur les élections ?

Tripoli: la NATO bombarda la TV di stato

News from NATO HQ      

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NATO silences Qadhafi’s terror broadcasts
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Statement by the Spokesperson for NATO Operation Unified Protector, Colonel Roland Lavoie, regarding air strike in Tripoli

30 Jul. 2011
Issued on: 30 Jul. 2011

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A few hours ago, NATO conducted a precision air strike that disabled three ground-based Libyan state TV satellite transmission dishes in Tripoli.  The strike, performed by NATO fighter aircraft using state-of-the art precision guided munitions, was conducted in accordance with the UN Security Council Resolution 1973, with the intent of degrading Qadhafi’s use of satellite television as a means to intimidate the Libyan people and incite acts of violence against them. 

Our intervention was necessary as TV was being used as an integral component of the regime apparatus designed to systematically oppress and threaten civilians and to incite attacks against them.  Qadhafi’s increasing practice of inflammatory broadcasts illustrates his regime’s policy to instill hatred amongst Libyans, to mobilize its supporters against civilians and to trigger bloodshed. 
 
In light of our mandate to protect civilian lives, we had to act.  After due consideration and careful planning to minimize the risks of casualties or long-term damage to television transmission capabilities, NATO performed the strike and we are now in the process of assessing its effect.   Striking specifically these critical satellite dishes will reduce the regime’s ability to oppress civilians while at the same time preserve television broadcast infrastructure that will be needed after the conflict.  

NATO will continue to take appropriate measures to enforce the UN mandate and to protect the lives of the people of Libya.

(This statement is also available in video on the NATO website)

Primo telegiornale dopo i bombardamenti:
http://www.youtube.com/watch?v=Upyjlzn153U&feature=channel_video_title
         "Non abbiamo paura degli attacchi terroristici della NATO"

Immagini dei danni:
http://www.youtube.com/user/InomineX
http://www.youtube.com/watch?v=LfZLpblSQI8

venerdì 29 luglio 2011

Images from Nalut Offensive

fonte: http://the-war-diaries.com

Derek Henry Flood

Profession:Photojournalist/Writer
Location:Nalut , Libya
Home base:Los Angeles
URL:http://the-war-diaries.com


B.1975 Philadelphia- Derek Henry Flood is an American writer and photojournalist focusing on Middle Eastern, Central and South Asian affairs and issues within political Islam. He has covered the post-9/11 wars in Afghanistan, Iraq and Lebanon as well as their domestic repercussions in the United States. He has appeared on BBC World Service radio and BBC Arabic television and in print in L’Espresso, Le Vif, Time, Le Figaro, La Tribune,and online with Asia Times and The Jamestown Foundation and worked in investigative journalism for Georgetown University and the Center for Public Integrity in Washington D.C.

Libya's western rebels launch a full-scale offensive against Qaddafist troops in coordination with long-awaited NATO air strikes in Libya's Jebel Nafusa mountain range along the Tunisian border. The rebels 'liberated' several key towns in the plains below their mountain stronghold which had been the base for weeks of menacing artillery from Qaddafists on civilian areas under rebel control. Here a Soviet era T-60 tank goes on the offensive. I wished I'd had time to eat breakfast. Serious go time! ©2011 Derek Henry Flood
Nalut/Djerba- Well yesterday’s long promised rebel/NATO offensive against the nearby Qaddafists finally got underway and it was hell upon earth. The morning started out in a deadly quiet, still fog that obscured the Q controlled towns down on the plains below Nalut. Within hours it was like a baking hot Stalingrad. I have never heard nor encountered so much artillery in nearly a decade of war coverage. My driver and I visited a martyr’s graveyard in the middle of it all as I needed to make a diverse array of images for an upcoming photo essay when WHAM!!!, Grads starting falling in Nalut’s deserted center. I’ll have to save some of the juicier stuff for articles but what I can say is that I have experienced something like this since Takhar and Kunduz (remember the ‘Daisy Cutters’?) in November 2001. At one point we literally fled the town as rockets rained down, though plenty of aged Amazigh men seemed unfazed as they crouched in the shade, playing the odds, with nowhere to really go and the rest of their families in Tunisian refuge.  We in the Nafusa had no clue about the death of Abdel Fattah Younes…and perhaps that was a good thing.
This tank is old enough to be a museum piece...if only it were in better condition. Love the smell of diesel in the morning. ©2011 Derek Henry Flood
Here sits a rebel graveyard for those killed in recent fighting. Even in death there was no peace for these souls as rockets rained down on Nalut. ©2011 Derek Henry Flood
A group of Arab rebels from the town of Zintan prepares to join the fight. Takbir! they yelled. ©2011 Derek Henry Flood
"Yep, that's right. We took Takut!" Rebels relax in the shade after taking a Qaddafist controlled town (with a little help from their NATO friends if you can dig it). ©2011 Derek Henry Flood


16 % d’inscrits seulement à 4 jours de la fin, va-t-on atteindre les 2 millions



Dimanche dernier, nous avons publié un article concernant le nombre des électeurs inscrits pour se rendre aux urnes le 23 octobre prochain. Sur un ton ironique et dans le but d"encourager les électeurs à inciter leur entourage à se bouger pour aller s'inscrire, nous avons, donc, titré l'article : "À ce rythme, on va atteindre 2 millions d’électeurs inscrits":

"Hier soir, l'agence TAP a annoncé en fanfare qu'en une seule journée, du samedi, 104 mille électeurs se sont inscrits. Un nombre qui a rendu le sourire au secrétaire général de l'Instance Supérieure Indépendante pour les Elections (ISIE), Boubaker Bethabet.

En effet, il a déclaré à la TAP "l'affluence massive enregistrée, samedi, vers les bureaux d'inscription, est un témoin saisissant de la confiance qu'éprouve le citoyen tunisien à la régularité des opérations d'inscription sur les listes électorales".

Aujourd'hui, on note, à 15h, sur la page Facebook de l'ISIE, que 103 mille nouveaux lecteurs se sont inscrits. Portant, ainsi, à 670.072 le nombre des Tunisiens inscrits jusqu'à maintenant. De quoi donner des sourires à Boubaker Bethabet jusqu'en avoir mal aux joues.

Même si ces chiffres sont encourageants, il ne reste que 9 jours avant le dernier délai d’inscription. D'ici le deadline du 02 août 2011, et au rythme de 100 mille et quelques nouvelles inscriptions par jour on aura, avec un peu de chance, un total de près de 2 millions d'inscrits. Un nombre très loin de l’objectif de l'ISIE qui est de 7,2 millions.

En attendant, espérons que les Tunisiens feront la queue pour s’inscrire et qu'ils -les inscrits- n’oublieront pas que le plus important est d'aller voter !

Rappelons que les bureaux d'inscription sur les listes électorales seront ouverts, aussi, demains 25 juillet de 8h à 18h."

C’est avec amertume que nous constatons, aujourd'hui, aucune différence ou presque. En effet, seulement 16 % des Tunisiens se sont inscrits sur les listes électorales à quatre jours de la fin des enregistrements. Ce pourcentage représente 1.350.000 citoyens ; alors que le nombre d’électeurs est estimé à 7,9 millions.

De part ce constat Kamel Jendoubi, président de l’instance chargée d’organiser les élections, a incité, aujourd’hui, les électeurs à aller s’inscrire en mettant l’accent sur la «volonté citoyenne», allant jusqu’à déclarer en référence au système de l’ancien régime «La carte d'électeur ne vous arrivera plus dans votre boîte aux lettres avec un cadeau ou un sandwich, désormais, c'est vous qui devez aller vous inscrire !».

Pour contrer ces désistements, et d'après l'AFP, un autre membre de l'ISIE aurait déclaré que "des solutions alternatives sont étudiées, telles que les inscriptions par SMS".

Rappelons que quelque 950 bureaux d'inscription sont répartis sur tout le pays et que l’opération d’inscription se termine le 2 août.

Fonte: TAP

giovedì 28 luglio 2011

Les exportations tunisiennes de produits alimentaires vers la Libye


Les exportations tunisiennes de  produits alimentaires vers la Libye, théâtre depuis le 17 février 2011, d’un conflit armé entre le régime Kadhafi et les insurgés, ont quadruplé, passant de 53,1 millions de dinars (MDT) au cours des 4 premiers mois de cette année, à 192,2 MDT au cours du premier semestre de 2011.
Ce sont les secteurs de l’agriculture et celui des industries agroalimentaires (IA) qui s’accaparent la part du lion avec un pourcentage de 85% en juin contre 74% au mois de mai.
Selon les observateurs, le flux de réfugiés libyens vers la Tunisie a créé une dynamique de commerce sur les frontières entre les deux pays. Ainsi, une hausse de la demande sur les produits agricoles et alimentaires a été enregistrée, faisant de la Libye, la première destination des produits tunisiens avec une part d’environ 24% du total des exportations tunisiennes jusqu’à fin juin.
Les données obtenues auprès de l’Observatoire du commerce extérieur (ministère du Commerce et du Tourisme), montrent que cette hausse est due, essentiellement, à l’augmentation des ventes des huiles végétales, estimées à une valeur de 61,1 MD (fin juin 2011), contre 12,5 MD au cours des 4 premiers mois de cette année.
Il s’agit également d’une hausse des exportations des céréales, lesquelles ont évolué de 4,8 MDT à 20,1 MDT. De même, la valeur des exportations de farine en poudre ont augmenté de 100 000 dinars à 9 millions de dinars et celles du lait ont plus que doublé, passant de 3,1 millions de dinars à 6,6 MDT.
Bien que ces résultats soient positifs pour le commerce extérieur de la Tunisie, ils commencent à susciter, chez les consommateurs, certaines craintes de perturber l’approvisionnement du marché local en produits alimentaires, d’autant plus que les Tunisiens s’apprêtent à accueillir le mois de Ramadan, période pendant laquelle la consommation sera révisée à la hausse, à savoir plus de 30% par rapport aux mois ordinaires.

Fonte: TAP

mercoledì 27 luglio 2011

Censure en Tunisie


Le 4 août prochain se tiendra le troisième volet du procès en appel opposant l’Agence Tunisienne de l’Internet au trio d’avocats de la censure des sites à caractère pornographique qui prétextent la « protection de l’enfance » selon des « valeurs arabo-musulmanes ».
Depuis le début de cette affaire, on s’interroge sur les justifications de cette action, sachant que juridiquement aucune loi ne régit le domaine de l’internet dans ce pays.
De même, le pacte international, relatif aux droits civils et politiques, signé par la Tunisie, ne définit pas Internet, mais plutôt donne son interprétation selon laquelle la liberté de chaque individu à accéder à l’information est un droit.
Le rapport présenté par les plaignants et sur lequel s’est basé le juge pour ordonner à l’Agence Tunisienne de l’Internet de censurer les dits sites, ne prend pas en considération la période « avant 14 janvier », pendant laquelle les internautes utilisaient des proxys pour contourner la censure d’Ammar404, en faussant l’origine du trafic internet.
Ces pseudo-protecteurs de l’enfance tunisienne voudraient voir la justice se substituer aux parents, pour les protéger d’un danger du web, mais qu’en est-il de la protection des enfants du danger des chaines TV qui diffusent le même type de contenu, ou encore les magazines, les vidéos échangées sur les téléphones mobiles etc. Est-ce le nouveau rôle de la justice dans cette démocratie en pleine construction ?
Sami Ben Romdhane, père de 3 enfants, internaute et professionnel du web, s’insurge quant à cette question rapporte un magazine (malissonline.com), « En ce moment je ne peux qu’avouer que les défenseurs de la censure sont des hypocrites et je vais le prouver. On s’en prend aux sites internet qui ne sont qu’une projection de la société. Le contenu qu’il soit porno, violent ou immoral on le voit sur les chaines télés, on l’entend et on le voit dans nos rues, écoles, lycées et universités. Pourquoi, c’est l’internet qu’on vise, c’est juste de l’hypocrisie. Moi pour mes enfants, ce qui me fait plus peur c’est les conducteurs qui grillent les feux rouges, qui conduisent en état d’ébriété, c’est le manqué de sécurité dans les rues, les transports en commun et autres endroits publics, mais pas internet et puis j’aimerais bien que l’argent du contribuable soit dépensé à pallier ces problèmes quotidiens, et non à censurer un site internet que je peux effectuer si j’ai envie car je suis responsable de mes enfants ».
Pour en revenir à cette question d’argent du contribuable et selon un rapport d’experts publié récemment (nawaat.org), l’application d’une décision en faveur des plaignants obligerait l’Etat à débourser pas moins de 16 millions de dinars par an ! Une somme indécente pour des ciseaux virtuels, alors que nous savons que tous les fournisseurs internet en Tunisie offrent l’alternative de contrôle parental pour protéger les enfants. Donc un coût annuel, qui serait mieux alloué au développement du moyen qui a véhiculé et exporté toute une révolution : Internet. Un des objectifs qu’avait spécifié le PDG de l’ATI à maintes reprises dans ses déclarations.
Aujourd’hui Internet est bel et bien dans la ligne de mire de certains, pour des raisons non évidentes mais Ammar404 pourrait reprendre ses ciseaux pour un round… Est-ce Internet qui dérange ou bien cette liberté retrouvée par un peuple longtemps muselé ?…Le porno aujourd’hui, le cinéma d’ici peu, et après … que décidera de nous cisailler cette justice avec notre propre argent ? Quand est ce qu’on comprendra que c’est le peuple qui décide de ses choix, non pas le paternalisme de l’Etat et de ses institutions ?
Et comme disait Potter Stewart : « La censure reflète le manque d'une société à avoir confiance en soi. »


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Fonte: Slim Azzabi Tunis-Hebdo

martedì 26 luglio 2011

Women bakers prepare for free Libya’s first Ramadan









BENGHAZI, Libya — Civil war or not, every year the holy Muslim month of Ramadan must be respected and in Libya’s rebel stronghold of Benghazi women bakers are working overtime to meet demand.
Dozens of women knead dough into shape, making sweets and salty pies, at the iconic Al-Harabi bakery, undaunted by the unrelenting war, sweltering temperatures, power-cuts and tight budgets.
Ramadan, when devout Muslims fast from dawn to dusk, is due to begin on August 1.
Throughout the month, families get together to break the fast with lavish meals that must include olive and cheese pies and special Ramadan sweets.
The revolution launched in February to unseat Libyan strongman Moamer Kadhafi has turned life in Libya upside down.
Men, the traditional breadwinners, left for the front line or lost their jobs, universities and schools closed, and businesses and homes were hit by daily power cuts.
As a result women have left their homes to look for jobs, with many finding a job al Al-Harabi.
“We had no money but I had free time so I started working here,” said Iman al-Jihani, 22, a medicine student who also volunteers two nights per week in the surgery department of Benghazi’s Al-Jalaa hospital.

At the bakery she earns a monthly salary of 275 Libyan dinars (around 230 dollars) which is paid on time — unlike her policeman father whose salary is always late.
Jihani’s salary helps relieve the pressure of feeding five mouths at home.
For Ghada Ali, 20, working at the bakery is a matter of survival.
Her father and two brothers are off fighting in Brega and Misrata, two front lines west of Benghazi, leaving Ali to care for her sick mother and three sisters.
“I am responsible for everything now, even the rent of the house,” she said, kneading frantically and pausing only to wipe sweat and tears from her face. “I am worried all the time. Every moment I think of them.”
In peace time the bakery was a runaway success. It opened its doors in 2006 with only four women bakers. Now up to 70 female employees fill the three-storey factory.

“Sweets are the speciality of women,” said Selma Abdelsalam, 50, as she wrapped Tunisian dates in dough.

The bakery boasts at least 100 types of sweets that are sold in the liberated areas, as far east as Tobruk near the border with Egypt, and Kufra in the south near the border with Chad.
“Now we make cookies with the colours of the revolution to celebrate Libya’s freedom,” said Wisha Ibrahim, who has worked at the bakery since it opened.

Sometimes the bakery sends sweets to the front to give fighters a taste of home, she said.
With “Free Libya’s” first Ramadan just around the corner, the women expect to see a real rise in demand for sweet and salted baked goods as well as the special pastries for the Eid al-Adha which marks the end of the fasting month.

But bakery owner Mohammed al-Harabi fears that demand will be subdued this year because of a lack of liquidity over the past few months.
“The problem is money,” said Harabi. “People have no salaries so there are delays in payment.”
Daily power cuts ranging between four and six hours in the area are an additional challenge for the business.
“The power shortage affects our work as half of our instruments require electricity,” said supervisor Najla Saad, 32.
Fortunately the Italian oven runs on fuel oil, churning out a wide variety of baked delicacies no matter what.


Source AFP










La Tunisie décrète l’état d’urgence à partir du 1er août 2011


Le président de la république par intérim, Foued Mebazaa, a signé, le 21 juillet, à la demande du Premier ministre du gouvernement provisoire, un arrêté n° 999-2011, proclamant l’état d’urgence sur tout le territoire de la république.



Selon le texte de l’arrêté publié par le Journal officiel de la république tunisienne (Jort), cet état d’urgence entrera en vigueur à partir du 1er août 2011.

Le 1er août, on le sait, coïncide avec le début du mois de ramadan. Avec la fin des inscriptions sur les listes électorales, le 2 août, le pays entre dans les dernières phases de l’organisation de l’élection de l’Assemblée nationale constituante, fixée au 23 octobre prochain.

Si l’on ajoute à cela la situation explosive sur la frontière libyenne, et les menaces générées par la position de la Tunisie en Afrique du Nord et sa difficile transition politique, on peut comprendre que le gouvernement ait pris cette décision par mesure de précaution.

Il s’agit de mettre le pays dans un état de vigilance optimale pour parer à toutes éventualités. Surtout sur le plan sécuritaire.



Kuwait provides aid to Libyan refugees


TATAOUINE: A delegation of the Kuwaiti joint committee for relief aid yesterday participated in distributing aid to Libyan refugees living in makeshift camps in Tunisia's border areas. Delegation head Abdulrahman Terkait told KUNA that the distributed aid included food, medicine and baby milk. "This aid is meant to help alleviate the suffering of these refugees and provide them with some of their basic needs," he said.
Al-Terkait said the aid brought smiles to the grim faces of some of the 7,000 Libyan families who fled their homes fearing violence since the start of the unrest. The Libyan officials working in the field of relief and many of the refugees expressed deep gratitude and appreciation to the Kuwaiti leadership and people for supporting them in their plight.
Al-Terkait reiterated that the State of Kuwait is keen to support those affected by wars and disasters worldwide and provide them with aid. The delegation, which included Al-Terkait, who is representing the Zakat House, as well as Ahmed Azmi and Jarrah Al-Suet, arrived here earlier to provide aid worth $250,000 to refugees in south Tunisia.
This aid was distributed under the supervision of the Embassy of Kuwait in Tunisia and the joint relief committee, in cooperation and coordination with local and international relief organizations, particularly the Tunisia Red Crescent Society's relief committee and the Libyan relief organization operating here.
- KUNA

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