Des milliers de réfugiés bloqués dans les camps de Choucha à Ras Jdir, en majorité de nationalité somalienne, ivoirienne, éthiopienne et soudanaise, refusent de rentrer chez eux. Des avions venus des Émirats arabes et du Qatar pour les rapatrier repartent presque vides.
Les organisations humanitaires sur les frontières tuniso-libyennes expliquent ce refus de rapatriement par l'intention de ces ressortissants d'être transférés en Europe et au Canada, profitant de leur statut de réfugiés humanitaires.
Les organisations humanitaires sur les frontières tuniso-libyennes expliquent ce refus de rapatriement par l'intention de ces ressortissants d'être transférés en Europe et au Canada, profitant de leur statut de réfugiés humanitaires.
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