La NATO continua i bombardamenti sulla Libia e colpisce in pieno un deposito alimentare a Zlite. La notizia viene data al telegiornale
https://www.youtube.com/watch?v=oUffrzlskRg&feature=watch_response_rev
poi viene pubblicato il video completo girtato dai vigili del fuoco
https://www.youtube.com/watch?v=igQb_vDkwpE&feature=watch_response
Se in periodo normale questo sarebbe già da denunciare, in questo frangente drammatico è un disastro. La Tunisia sta soffrendo in modo terribile della guerra in Libia. Le scorte alimentari vengono divise tra i tunisini, i rifugiati e vendute anche alla Libia. Qualcuno diceva che sicuramente sarà un periodo d'oro per i commercianti della Tunisia. Non è vero, uscito da una rivoluzione il paese è ancora traballante. La nuova libertà, gli scioperi, l'insicurezza politica, la chiusura di molte fabbriche hanno creato una situazione insostenibile. A Djerba mancano molti generi alimentari, latte, zucchero, farina, acqua in bottiglia sono merce rara. I commercianti sono molto giudiziosi e razionano le scorte. Purtroppo ci vorrà molto tempo per ristabilire un equilibrio. Il mese di Ramadan comincia la prossima settimana
Ecco gli articoli usciti sui giornali in Tunisia si riferiscono agli acquisti fatti dai libici per la Libia in una sola giornata:
https://www.youtube.com/watch?v=oUffrzlskRg&feature=watch_response_rev
poi viene pubblicato il video completo girtato dai vigili del fuoco
https://www.youtube.com/watch?v=igQb_vDkwpE&feature=watch_response
Se in periodo normale questo sarebbe già da denunciare, in questo frangente drammatico è un disastro. La Tunisia sta soffrendo in modo terribile della guerra in Libia. Le scorte alimentari vengono divise tra i tunisini, i rifugiati e vendute anche alla Libia. Qualcuno diceva che sicuramente sarà un periodo d'oro per i commercianti della Tunisia. Non è vero, uscito da una rivoluzione il paese è ancora traballante. La nuova libertà, gli scioperi, l'insicurezza politica, la chiusura di molte fabbriche hanno creato una situazione insostenibile. A Djerba mancano molti generi alimentari, latte, zucchero, farina, acqua in bottiglia sono merce rara. I commercianti sono molto giudiziosi e razionano le scorte. Purtroppo ci vorrà molto tempo per ristabilire un equilibrio. Il mese di Ramadan comincia la prossima settimana
Ecco gli articoli usciti sui giornali in Tunisia si riferiscono agli acquisti fatti dai libici per la Libia in una sola giornata:
Tunisie: Pénurie de sucre à Sfax - De grandes quantités expédiées vers la Libye
La stessa situazione anche a Djerba.
Un nouveau facteur lié à la crise libyenne. De grandes quantités de sucre sont acheminées vers la Libye à travers des circuits non contrôlés. A l'Office du commerce, un responsable précise que les pertes de l'office en matière de sucre atteignent 170 MD, et le déficit est de 450 à 500 dinars par tonne.
Plusieurs détaillants des produits alimentaires de Sfax ont exprimé leur crainte suite au manque enregistré, ces derniers jours, en matière de sucre. En faisant une tournée auprès des épiciers, on remarque que l'absence de ce produit alimentaire inquiète les habitants dont certains dénoncent les pratiques de commerçants qui profitent de la situation et exercent la vente conditionnée.
En ce qui concerne les détaillants, ils trouvent du mal à trouver du sucre chez les grossistes. Les quantités disponibles sont vendues aux clients fidèles.
M. Larbi Benkahla, directeur central de l'approvisionnement à l'Office du commerce, explique qu'il ne s'agit pas d'une pénurie. Pendant cette période, on a enregistré une augmentation de 4 % au niveau de l'approvisionnement en la matière. Par ailleurs, la vente du sucre a marqué une augmentation de 20% par rapport à l'année précédente.
Un produit... pauvre
M. Benkahla souligne: «Il ne s'agit pas d'une pénurie. La situation est due à deux facteurs. Le premier est ancien. Les grossistes refusent de s'approvisionner en sucre qui est considéré comme produit pauvre, puisque la marge bénéficiaire est très faible. Plusieurs détaillants refusent aussi de vendre ce produit. Dans ce registre, l'Office du commerce, pense à généraliser l'expérience du sucre conditionné. Mais, cette solution ne sera pas appliquée dans cette période, puisque le prix du sucre conditionné est plus élevé que le sucre en vrac»
Un nouveau facteur temporaire s'ajoute. Il s'agit de la crise libyenne. De grandes quantités de sucre sont acheminées vers la Libye à travers des circuits non contrôlés.
Le responsable précise que les pertes de l'office en matière de sucre atteignent 170 MD, un déficit de 450 à 500 dinars par tonne. «Les contrats d'achat signés entre l'Office du commerce et les fournisseurs en matière de sucre indiquent que la marge de variation peut atteindre 5 % des quantités vendues. Depuis quelque temps, les fournisseurs ne respectent plus cette condition. Ils préfèrent approvisionner le marché de Benghazi, puisque les prix y sont plus élevés».
Des réserves pour couvrir 75 jours
La région de Sfax consomme dans les conditions normales 3 mille tonnes de sucre par mois. Cette quantité a presque doublé dans ces nouvelles circonstances. La région consomme actuellement 5.334 tonnes par mois. Toutefois, le directeur central de l'approvisionnement indique que les réserves à Sfax sont suffisantes pour couvrir une période de 75 jours. De même, l'Office national du commerce informe qu'un bateau chargé de sucre va arriver le 19 juillet au port de Sfax.
Toutefois, M. Benkahla déclare que la perturbation au niveau de l'approvisionnement concerne également le café, le thé et le riz. Les représentants de l'office se sont réunis au niveau du ministère pour discuter de la question et trouver des solutions.
Un nouveau facteur lié à la crise libyenne. De grandes quantités de sucre sont acheminées vers la Libye à travers des circuits non contrôlés. A l'Office du commerce, un responsable précise que les pertes de l'office en matière de sucre atteignent 170 MD, et le déficit est de 450 à 500 dinars par tonne.
Plusieurs détaillants des produits alimentaires de Sfax ont exprimé leur crainte suite au manque enregistré, ces derniers jours, en matière de sucre. En faisant une tournée auprès des épiciers, on remarque que l'absence de ce produit alimentaire inquiète les habitants dont certains dénoncent les pratiques de commerçants qui profitent de la situation et exercent la vente conditionnée.
En ce qui concerne les détaillants, ils trouvent du mal à trouver du sucre chez les grossistes. Les quantités disponibles sont vendues aux clients fidèles.
M. Larbi Benkahla, directeur central de l'approvisionnement à l'Office du commerce, explique qu'il ne s'agit pas d'une pénurie. Pendant cette période, on a enregistré une augmentation de 4 % au niveau de l'approvisionnement en la matière. Par ailleurs, la vente du sucre a marqué une augmentation de 20% par rapport à l'année précédente.
Un produit... pauvre
M. Benkahla souligne: «Il ne s'agit pas d'une pénurie. La situation est due à deux facteurs. Le premier est ancien. Les grossistes refusent de s'approvisionner en sucre qui est considéré comme produit pauvre, puisque la marge bénéficiaire est très faible. Plusieurs détaillants refusent aussi de vendre ce produit. Dans ce registre, l'Office du commerce, pense à généraliser l'expérience du sucre conditionné. Mais, cette solution ne sera pas appliquée dans cette période, puisque le prix du sucre conditionné est plus élevé que le sucre en vrac»
Un nouveau facteur temporaire s'ajoute. Il s'agit de la crise libyenne. De grandes quantités de sucre sont acheminées vers la Libye à travers des circuits non contrôlés.
Le responsable précise que les pertes de l'office en matière de sucre atteignent 170 MD, un déficit de 450 à 500 dinars par tonne. «Les contrats d'achat signés entre l'Office du commerce et les fournisseurs en matière de sucre indiquent que la marge de variation peut atteindre 5 % des quantités vendues. Depuis quelque temps, les fournisseurs ne respectent plus cette condition. Ils préfèrent approvisionner le marché de Benghazi, puisque les prix y sont plus élevés».
Des réserves pour couvrir 75 jours
La région de Sfax consomme dans les conditions normales 3 mille tonnes de sucre par mois. Cette quantité a presque doublé dans ces nouvelles circonstances. La région consomme actuellement 5.334 tonnes par mois. Toutefois, le directeur central de l'approvisionnement indique que les réserves à Sfax sont suffisantes pour couvrir une période de 75 jours. De même, l'Office national du commerce informe qu'un bateau chargé de sucre va arriver le 19 juillet au port de Sfax.
Toutefois, M. Benkahla déclare que la perturbation au niveau de l'approvisionnement concerne également le café, le thé et le riz. Les représentants de l'office se sont réunis au niveau du ministère pour discuter de la question et trouver des solutions.
781 mille dinars: Valeur des ventes vers la Libye en une seule journée
Les évènements en Libye ont augmenté le rythme de la demande de plusieurs produits,notamment les produits agroalimentaires tunisiens, et ce, suite, aux conditions difficiles qui sévissent dans ce pays, l’obligeant à s’approvisionner auprès de la Tunisie.
Face à cette situation l’activité commerciale sur les frontières entre les deux pays s’est accrue encourageant certains intermédiaires illégaux à vouloir réaliser des gains rapides à travers la contrebande de certains produits subventionné. »dont le sucre, les pates alimentaires et les huiles végétales.
Selon les données des services spécialisés du ministère du commerce et du tourisme, la journée du 13 juillet a été marquée par la vente, à travers les postes frontaliers de Ras Jdir (Gouvernorat de Medenine) et Dhhiba (Gouvernorat de Tataouine), de plusieurs produits pour une valeur de 781 mille dinars.
Ces produits ont notamment concerné les pates alimentaires (147 tonnes), les pastèques (5 tonnes), les tomates (5 tonnes), les peches (23 tonnes), les abricots (13 tonnes), les prunes (10 tonnes), les eaux minérales (9 tonnes) et les huiles végétales (50 tonnes).
IL a également été procédé à l’exportation de 18 tonnes d’épices, 5 tonnes de fèves, 41 tonnes de pois chiche, 6 tonnes de raisins secs et 219 tonnes de jus.
Face à cette situation l’activité commerciale sur les frontières entre les deux pays s’est accrue encourageant certains intermédiaires illégaux à vouloir réaliser des gains rapides à travers la contrebande de certains produits subventionné. »dont le sucre, les pates alimentaires et les huiles végétales.
Selon les données des services spécialisés du ministère du commerce et du tourisme, la journée du 13 juillet a été marquée par la vente, à travers les postes frontaliers de Ras Jdir (Gouvernorat de Medenine) et Dhhiba (Gouvernorat de Tataouine), de plusieurs produits pour une valeur de 781 mille dinars.
Ces produits ont notamment concerné les pates alimentaires (147 tonnes), les pastèques (5 tonnes), les tomates (5 tonnes), les peches (23 tonnes), les abricots (13 tonnes), les prunes (10 tonnes), les eaux minérales (9 tonnes) et les huiles végétales (50 tonnes).
IL a également été procédé à l’exportation de 18 tonnes d’épices, 5 tonnes de fèves, 41 tonnes de pois chiche, 6 tonnes de raisins secs et 219 tonnes de jus.
قائمة المواد الغذائية التي تشهد نقصا في تونس بسبب تهريبها الى ليبيا
POSTED IN: INFOS NATIONALES
– 23 JUILLET 2011
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