giovedì 30 giugno 2011
Concert Chants Classique Arabe Dorsaf Hamdani- Dar Cherif - Sidi Jmour Djerba
Le 8 juillet 2011 à 20h30
Dorsaf Hamdani :
a une voix succulente, une technique de chant appréciable pour ne pas dire irréprochable et une sensibilité à fleur de peau. Dorsaf Hamdani a apparemment tout pour plaire.
A la fin de ses études au conservatoire de Tunis, elle entame un cycle universitaire de Musicologie entre Tunis et Paris.
En parallèle, Dorsaf multiplie les participations à de grands événements musicaux du monde arabe et reçoit plusieurs récompenses prestigieuses : le Prix des jeunes talents tunisiens (1992), deuxième prix au Festival de la Chanson arabe en Jordanie (1995) et le disque d'or de la chanson tunisienne (1996).
Ses nombreux passages au temple de la musique arabe, l’Opéra du Caire, lui valent d’être reconnue et sollicitée par les plus grands maestros : Salah Ghoubachi, Selim Sahab, etc. Leurs commentaires sur les performances de Dorsaf sont des plus élogieux.
Dorsaf est une jeune chanteuse et pourtant elle maîtrise plusieurs répertoires différents : chants arabo-andalous du Maghreb (noubas), chant classique arabe, chants traditionnels soufis. Elle témoigne surtout d’une aisance fascinante dans les difficiles couplets de Warda, Najet, de Fairuz ou de la diva Oum Kalthoum et dans les incantations profondes de la musique soufi.
La jeune chanteuse étonne également par la puissante émotion qu’elle transmet lorsqu’elle chante, et qui tranche avec l’austérité des musiques classiques arabes, qui exigent la retenue. Elle développe ainsi son propre style, n’imite pas et chante avec ses propres vibrations des textes écrits et mis en musique par de grands artistes. Sur scène, elle est à la fois une voix exquise, des gestes discrets et un sourire d’enfant. Elle contrôle tout, mais donne libre cours à ses interprétations pour notre bonheur.
En 2011, elle participe à la création « Ivresses » autour de la poésie d’Omar Khayyam, qui réunit le chant arabe qu’elle interprète et le chant persan d’Alireza Ghorbani et qui rencontre un grand succès auprès du public et des médias français. Cette création dont le disque est paru en février 2011 (Accords Croisés / Harmonia Mundi) a été présentée au Festival d’Ile de France, au Théâtre des Bouffes du Nord et lors de la soirée de clôture du festival Les Suds à Arles.
mercoledì 29 giugno 2011
Libyan government expels Reuters journalist
A government spokesman says Libya has expelled a Reuters journalist because of what he says is anti-government bias by the international news agency.
Spokesman Moussa Ibrahim says the British correspondent, Nick Carey, was asked to leave Wednesday. Ibrahim says the reason was that the agency has been "deliberately anti-Libyan government" in its reporting.
Other Reuters journalists remained in the capital, Tripoli, where foreign reporters operate under government restrictions.
Ibrahim says Carey wasn't expelled for a specific story. He says the government acted after Reuters' reporting "for over a month and a half." Carey arrived in Tripoli two and a half weeks ago.
Reuters did not immediately return calls seeking comment.
You can read articles from Nick Carey on this link:http://blogs.reuters.com/nick-carey/
WWW.routard.com: Forum qui revient de Djerba
Qui revient de Djerba ?
Nous partons à Djerba fin juillet, est-ce que tout est paisible ? Peut-on se promener tranquille à Midoun et Houmt souk ? J'ai peur qu'il y ai beaucoup d'émigrés Lybiens qui quémandent ....merci d'avance pour vos réponses.
DJERBA - Juin 2011 - Aucun problème Posté le 29 juin 2011 à 00:09
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Bonsoir,
Je suis revenue hier de Djerba. Tout est exactement comme avant, sauf que les touristes manquent. A Midoun on peut se promener tout à fait tranquillement. Les vendeurs nous appellent un peu plus qu'avant, mais cela est dû au fait que peu de monde y passe. Les tunisiens aiment parler de la révolution et de leur "nouvelle" vie. Je n'ai pas été à Houmt souk, mais à priori c'est la même chose. Les touristes de l'hôtel où je séjournais y allaient régulièrement.
Pour remettre les choses à leur place, il faut arrêter de croire tout ce qu'on nous montre à la télé. Allez en Tunisie, parlez-leur du peuple Lybien et donnez m'en des nouvelles. Chaque famille Lybienne touche 3000 DINARS par mois (soit 1 500 € environ). Les Lybiens sont riches. Ceux qui sont en Tunisie séjournent dans les hôtels, et leurs belles voitures circulent sur l'île de Djerba, mais en aucun cas ils ne quémandent. Ils n'en ont d'ailleurs pas besoin.
Je ne sais pas dans quel club vous allez, mais il faut savoir qu'il il y a seulement 67 complexes ouverts sur 147 complexes que comporte l'île. De plus, le chômage est passé de 22% à 47% après la révolution. Nous séjournions dans le plus grand complexe de l'île, qui était rempli à 40% seulement. Les réservations manquent toujours et d'autres hôtels sont menacés de fermeture (d'où nouvelle augmentation du chômage à prévoir).
Face à cette situation, les tunisiens, font vraiment preuve de patience et ne se plaignent même pas. Nous, français, ne réagirions pas du tout de la même manière. Ils ont un courage, et une manière de relativiser exemplaire.
Je n'ai qu’une seule phrase à vous dire : n'allez pas en Tunisie, COURREZ-Y !!! Le pays à plus que besoin des touristes. Il n'y a absolument rien à craindre. Nous sommes sortis tous les jours de l'hôtel !!!
Allez en Tunisie Posté le 29 juin 2011 à 06:29
Je suis revenue hier de Djerba. Tout est exactement comme avant, sauf que les touristes manquent. A Midoun on peut se promener tout à fait tranquillement. Les vendeurs nous appellent un peu plus qu'avant, mais cela est dû au fait que peu de monde y passe. Les tunisiens aiment parler de la révolution et de leur "nouvelle" vie. Je n'ai pas été à Houmt souk, mais à priori c'est la même chose. Les touristes de l'hôtel où je séjournais y allaient régulièrement.
Pour remettre les choses à leur place, il faut arrêter de croire tout ce qu'on nous montre à la télé. Allez en Tunisie, parlez-leur du peuple Lybien et donnez m'en des nouvelles. Chaque famille Lybienne touche 3000 DINARS par mois (soit 1 500 € environ). Les Lybiens sont riches. Ceux qui sont en Tunisie séjournent dans les hôtels, et leurs belles voitures circulent sur l'île de Djerba, mais en aucun cas ils ne quémandent. Ils n'en ont d'ailleurs pas besoin.
Je ne sais pas dans quel club vous allez, mais il faut savoir qu'il il y a seulement 67 complexes ouverts sur 147 complexes que comporte l'île. De plus, le chômage est passé de 22% à 47% après la révolution. Nous séjournions dans le plus grand complexe de l'île, qui était rempli à 40% seulement. Les réservations manquent toujours et d'autres hôtels sont menacés de fermeture (d'où nouvelle augmentation du chômage à prévoir).
Face à cette situation, les tunisiens, font vraiment preuve de patience et ne se plaignent même pas. Nous, français, ne réagirions pas du tout de la même manière. Ils ont un courage, et une manière de relativiser exemplaire.
Je n'ai qu’une seule phrase à vous dire : n'allez pas en Tunisie, COURREZ-Y !!! Le pays à plus que besoin des touristes. Il n'y a absolument rien à craindre. Nous sommes sortis tous les jours de l'hôtel !!!
Allez en Tunisie Posté le 29 juin 2011 à 06:29
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Nous sommes rentrés aussi dimanche soir, nous étions aussi à Djerba, nous avons fait Midoun, houm Souk, le désert etc...
Tout se passe à merveille, nous avions quelques familles Lybiennes à l'hôtel, ayant beaucoup d'argent effectivement ils sont présents à l'hôtel comme nous et sont très discrets....
Les pauvres restent surtout vers la frontière...
Même dans le désert nous n'avons eu aucun soucis, croisé quelques militaires...
Nous avons fait sur Djerba 3h de quad à la tombée de la nuit, pas de soucis...
Nous avons été jusqu'au fort Espagnol, rencontré des familles berbères qui vous font un petit coucou,l'île est + que calme du faite qu'il y a peu de touristes...
Nous avons passé avec Rassa Moez pour les excursions, si vous voulez ces coodonnées envoyez moi un MP...
Nous étions au golf Beach, très beau complexe, nous y retournerons en octobre...
Bonne journée.
Nous sommes rentrés aussi dimanche soir, nous étions aussi à Djerba, nous avons fait Midoun, houm Souk, le désert etc...
Tout se passe à merveille, nous avions quelques familles Lybiennes à l'hôtel, ayant beaucoup d'argent effectivement ils sont présents à l'hôtel comme nous et sont très discrets....
Les pauvres restent surtout vers la frontière...
Même dans le désert nous n'avons eu aucun soucis, croisé quelques militaires...
Nous avons fait sur Djerba 3h de quad à la tombée de la nuit, pas de soucis...
Nous avons été jusqu'au fort Espagnol, rencontré des familles berbères qui vous font un petit coucou,l'île est + que calme du faite qu'il y a peu de touristes...
Nous avons passé avec Rassa Moez pour les excursions, si vous voulez ces coodonnées envoyez moi un MP...
Nous étions au golf Beach, très beau complexe, nous y retournerons en octobre...
Bonne journée.
Le notizie che leggo solo io: "Exclusive: Tunisia bank helping Qadhafi evade fuel embargo"
ALUBAF Arab International Bank is providing a letter of credit to traders willing to break an embargo on supplies of fuel to parts of Libya still under Muammar Qadhafi’s control.
In a document passed to Petroleum Economist by rebel sources, Alabuf offers a “standby letter of credit” for the supply of 20,000 tonnes of gasoline to Zawiyah, a port in western Libya.
The letter of credit is addressed to Raseel Import and Export, a Jordanian firm, guaranteeing payment from a company called SMS Trading, of Tunis, which is understood to be the recipient of the fuel.
Alubaf, based in Bahrain, is 97.11% owned by Libyan Foreign Bank. Its Tunisian branch has operated since 1986. A source said its efforts to oversee new fuel shipments followed visits to Tunisia by Omran Abukraa, recently appointed chairman of state-owned Libyan National Oil Company, and Abdulati Obeidi, Libya’s foreign minister.
A source said SMS Trading was likely operating in co-ordination with Al Sharara, a Libyan company set up by former oil minister Shokri Ghanem that, since the uprising against Qadhafi, has been transformed from a local distribution company into a fuel importer.
The amount of money involved was not disclosed, nor the date of shipment. The letter of credit was issued on 17 June.
Neither Raseel Import & Export nor Alubaf Bank would respond to requests for comment about this article. SMS Trading could not be located.
A source told Petroleum Economist that the companies would try to land a vessel carrying the fuel in Zawiyah – but if Nato, which has already interdicted regime-bound tankers carrying gasoline, prevented the landing it would discharge its fuel in Tunisia for re-export to Qadhafi-controlled Libya.
Desperate for fuel
The document confirms Qadhafi’s desperation to secure fuel shipments as a tightening of the embargo against his regime drains it of gasoline and diesel to support his army’s war effort.
Nato previously prevented one tanker, the Jupiter, from landing in western Libya after Petroleum Economist revealed it was carrying 12,500 tonnes of fuel to the regime. It remains anchored off Tripoli, and has not been able to discharge its cargo.
The EU has also widened its sanctions against the regime to bar vessels from entering six ports under Qadhafi’s control.
A second, larger vessel, the Cartagena, remains anchored offshore Malta. It is carrying 37,500 tonnes of gasoline. In recent weeks, Hannibal Qadhafi, the dictator’s son who controls the state-owned General National Maritime Transport, ordered a crew of Libyan sailors to take over the Cartagena and sail it to Tripoli.
That plan failed after the Indian crew refused to surrender control of the Cartagena.
Floating refinery plans
Petroleum Economist has also learnt that the regime has entered negotiations with a vendor in the Black Sea region to buy a floating refinery. The plant, which could process some crude oil still said to be held in regime-controlled storage tanks, would have maximum capacity of 10,000 barrels a day (b/d), said a source.
The letter of credit from Alubaf would circumvent a problem that has hindered trading with the regime since conflict erupted in February, when the closure of banks prevented credit lines from being issued, leaving traders unsure about payment.
Even in the rebel-held east, payments for fuel shipments have gone through Qatar Petroleum and its subsidiaries, which have agreed to handle the rebels’ petroleum trade.
Zawiyah, which is also home to a 120,000 b/d refinery, has seen fighting in recent weeks as rebels seeking an end to the Qadhafi regime clash with loyalists. The refinery is a source of fuel for Tripoli and the regime’s army.
Last week, it was confirmed that rebels had successfully shut down a pipeline shipping crude from fields in Libya’s southwest to Zawiyah, essentially cutting off the refinery’s feedstock.
It is understood that a valve on the line was switched off and cemented to prevent easy restart.
Western diplomats insist that the fuel embargo and a more intensive military campaign could quickly bring Qadhafi down.
Renewed efforts are also under way to secure a negotiated settlement, although the latest indictment against Qadhafi from the International Criminal Court, issued on 27 June, may have made that harder.
One source said: “He’s been offered jungle, beach, mountain top, chalet, villa – whatever he wants – to leave.” Derek Brower, London
martedì 28 giugno 2011
lunedì 27 giugno 2011
Le notizie che leggo solo io: "Le Bourget" Air Show 2011 e guerra in Libia
Le notizie che leggo solo io... un giornale libico ha riportato ieri questo articolo; mi limito ad una traduzione senza commenti:
Molti produttori hanno deciso di approfittare della guerra aerea condottadella NATO per rovesciare il leader libico, Muammar Gheddafi, come promozione dei loro veicoli presentati all’air show di "Le Bourget" in Francia tenutosi dal 20 al 26 giugno scorso e commercializzare i loro aerei e apparecchiature militari di vario tipo molti dei quali sono stati recentemente utlizzati per colpire obbiettive della Jamahiriya.
Si è registrata la presenza di aziende di armi europee tra cui Società britannica di difesa aerea e la società spaziale europea, la "Finmeccanica" italiana, oltre a compagnie americane, come "Lockheed Martin" e "Boeing" e "Raytheon" .
E 'noto che la maggior parte degli aerei, Eurofighter, che hanno dominato l'aria durante la mostra di "Le Bourget", volano ora nei cieli della Libia, come la "Typhoon" europea e la "Rafale" francese, la "Gribben," svedese, e le loro prestazioni avranno effetti significativi sulle vendite di queste aziende.
Per esempio, l'India prenderà la decisione di acquistare aerei da caccia "Eurofighter" e "Rafale" osservando i risultati del conflitto in Libia, secondo il quotidiano "The Wall Street Journal", che ha affermato che i costruttori sfruttano questa esposizione per parlare delle prestazioni dei loro prodotti in Libia e quindi guadagnarepiù dei clienti.
Secondo il Presidente e Officer Chief Executive Charles Adlstan, "Tutti stanno guardando ciò che sta accadendo in Libia", esprimendo la sua ammirazione per l'accuratezza del velivolo "Rafale".
I nuovo aerei da caccia attirano di piu’ l’attenzione, si mettono meglio in mostra o sul campo di battaglia, anche molte delle vecchie armi hanno dimostrato di essere utili ed aver svolto missioni migliori degli aerei moderni. Ultimamente sono stati inseriti "Apache" America e "Tiger" nel conflitto europeo in Libia, essendo la loro capacità di avvicinare gli obiettivi di terra superiore della maggior parte degli aerei.
Ultima novità sono missili, velivoli senza pilota e sistemi elettronici messi in mostra a "Le Bourget" che hanno un ruolo importante in Libia, dove questa apparecchiatura viene utilizzata per aiutare le forze della NATO a distinguere tra truppe di Gheddafi e ribelli che stanno combattendo a breve distanze tra di loro.
La richiesta è ancora predominante per aerei da combattimento che utilizzano piloti mentre è ancora timido il mercato di intelligence dove la richiesta è minore rispetto agli Stati Uniti. Dice un industriale militare presso l'Istituto Internazionale per gli Studi Strategici, Douglas Barry, che "una delle lezioni apprese dalla guerra in Libia, è che gli europei hanno necessità di aumentare i loro sistemi di intelligence nel più breve tempo possibile".
Le società di armi europee stanno cercando di convincere i clienti a comprare aerei senza pilotai, ma, in questo settore hanno un compito difficile. Sembra che la battaglia in Libia possa fare la differenza, da quando la Gran Bretagna e la Francia hanno annunciato un piano per lo sviluppo congiunto chiamato "Tlemus di velivoli senza pilota ". Può dipendere da questi paesi, che coprono più della metà della spesa militare europea, affidare alle due società "BAE Systems" e Air "Dassault" lo sviluppo del velivolo.
Una promozione viene fatta per le armi europee a lungo e medio raggio usate dagli europei per colpire obiettivi in Libia come i missili "Brimsston", definiti ad alta definizione sono stati usati per distruggere i piccoli bersagli in senza causare danni o morti in tutto il bersaglio. Un alto funzionario del British Royal Air riporta che i Ministeri della Difesa francese e degli Stati Uniti hanno espresso il loro desiderio di acquisire questo tipo di missile, ma se verrà ottenuto un maggiore successo in Libia aumenterà il numero di ordini confermati.
Mandato di cattura internazionale per Gheddafi: il testo originale - 1 luglio 2011 l'Unione Africana non accetta il mandato
La Corte Penale Internazionale dell’Aja ha spiccato un mandato d’arresto per il leader libico Muammar Gheddafi per crimini contro l’umanità. I giudici hanno accolto la richiesta del procuratore Luis Moreno Ocampo. La stessa richiesta è stata accolta per il secondogenito di Gheddafi, Saif al-Islam, e per il capo dei servizi segreti libici, Abdullah al-Senussi: anche loro sono accusati di crimini contro l’umanità. La Corte ha dato mandato di spiccare subito l’ordine di arresto.
I giudici della camera “pre-trial” del Cpi hanno detto di ritenere che esistano “motivi ragionevoli” per credere che Gheddafi, suo figlio e il capo dei servizi abbiano commesso crimini contro l’umanità nel conflitto libico “dal 15 febbraio fino al 28 febbraio almeno”, cioè nel periodo che precede la decisione della comunità internazionale di intervenire militarmente in Libia, sulla base della risoluzione 1973 del consiglio di sicurezza dell’Onu.
Il Cpi parla, in particolare, di “un attacco contro la popolazione civile e gli oppositori politici” e di “atti inumani”. Gli arresti sono considerati “necessari”, soprattutto per evitare il proseguimento dei crimini. Per questo, la Corte ha chiesto immediatamente a tutti gli Stati e le organizzazioni regionali e internazionali coinvolte di “cooperare pienamente con la Corte e il procuratore” per assicurarne la cattura.
Soddisfatto il Ministro Frattini.
Il mandato di cattura “era quello che io mi aspettavo. I crimini contro l’umanità sono evidenti. Questo rende ancora più urgente trovare una soluzione politica che, senza Gheddafi al potere, restituisca alla Libia una prospettiva di sviluppo”, ha affermato, aggiungendo che “il futuro è certamente migliore con questo provvedimenti, perché rende chiaro a tutta la comunità internazionale che Gheddafi ormai può essere soltanto arrestato a meno che non si rifugi in un Paese che non ha sottoscritto lo Statuto di Roma”.
Dalla Farnesina, inoltre, si sottolinea come “la pronuncia della Corte penale internazionale sulle comprovate responsabilità di Gheddafi legittima ulteriormente l’assoluta necessità e l’alto valore della missione umanitaria della Nato in Libia, su mandato Onu, nel quadro della responsabilità di proteggere che spetta alla comunità internazionale nelle emergenze umanitarie provocate da atti di repressione di dittatori verso il proprio popolo”.
Libia/ Ua non eseguirà mandato arresto della Cpi contro Gheddafi
Malabo (Guinea Equatoriale), 1 lug. (TMNews) - L'Unione Africana (Ua) ha deciso oggi nel suo vertice a Malabo che i suoi membri non daranno esecuzione al mandato d'arresto spiccato dalla Corte penale internazionale nei confronti del leader libico Muammar Gheddafi per crimini contro l'umanità. In una risoluzione, l'Ua ha deciso "che gli Stati membri non coopereranno all'esecuzione del mandato d'arresto" contro il colonnello Gheddafi, e chiede al Consiglio di Sicurezza di attuare le disposizioni per l'annullamento del processo della Cpi contro la Libia. (fonte Afp)
الأوروبيون يسوقون أسلحتهم عبر استعمالها في ليبيا .. ألان جوبي: هناك اتصالات بين النظام الليبي والمعارضة
الوطن الليبية - وكالات
قرر العديد من المصنعين الاستفادة من الحرب الجوية التي تشنها طائرات حلف الأطلسي للإطاحة بالزعيم الليبي، معمر القذافي، وكذلك معرض الطيران في " لو بورجيه" بفرنسا، لتسويق طائراتهم ومعداتهم العسكرية بمختلف أنواعها التي أبلت بلاء حسنا في إصابة الأهداف الليبية. .
- وكان لشركات الأسلحة الأوروبية النصيب الأكبر من أجنحة المعرض مثل أنظمة "بي أ أو" البريطانية، وشركة الدفاع الجوي والفضاء الأوروبية وشركة "فينميكانيكا" الإيطالية، إلا أن هذا لم يمنع حضور شركات أمريكية مثل "لوكهيد مارتن" و"بوينغ" و"رايثيون".
- ومن المعروف أن أبرز الطائرات المقاتلة الأوروبية التي هيمنت على العروض الجوية في معرض "لو بورجيه" لعدة سنوات، تحلق الآن في سماء ليبيا، مثل "تايفون" الأوروبية و"رافال" الفرنسية و"غريبن" السويدية، وأداؤهم ستكون له آثار كبيرة على مبيعات هذه الشركات.
- وعلى سبيل المثال، الهند ستبت في قرار شراء مقاتلات "يوروفايتر" و"رافال" من خلال مراقبة المسؤولين الهنود للصراع في ليبيا، وفقا لصحيفة "وول ستريت جورنال"، التي أكدت أن المصنعين يستغلون المعرض للحديث عن أداء منتجاتهم في ليببا، وبالتالي كسب المزيد من الزبائن.
- ويقول رئيس مجلس الإدارة والرئيس التنفيذي لشركة "داسو" للطيران، تشارلز إدلستين، إن "الكل يراقب ما يجري في ليبيا"، مبديا إعجابه بمدى دقة طائرات "رافال".
- ورغم أن الطائرات المقاتلة الجديدة أبرز الأسلحة التي تجلب الاهتمام، سواء في المعرض أو في ساحة المعركة، إلا أن العديد من الأسلحة القديمة أثبتت أنها مفيدة في المعركة، حيث يقوم بعضها بوظائف عجزت الطائرات الحديثة عن القيام بها. فقد دخلت طائرات الهليكوبتر "أباتشي" الأمريكية و"تايغر" الأوروبية في الآونة الأخيرة إلى النزاع الليبي، كونها تستطيع الاقتراب من الأهداف الأرضية بشكل أكبر من الطائرات الأكثر سرعة.
- وتلعب العديد من الصواريخ والطائرات بدون طيار والأنظمة الإلكترونية المعروضة في "لو بورجيه" دورا مهما في ليبيا، حيث تساعد هذه المعدات قوات حلف شمال الأطلسي على التمييز بين كتائب القذافي والثوار الليبيين الذين يتقاتلون على مسافة قريبة.
- وقد عادت المعركة الليبية بالفائدة على مشتري الأسلحة الأوروبية الذين يركزون كثيرا على عقد صفقات لشراء طائرات مقاتلة، لكنهم يبدون تحفظهم على شراء نظم جمع المعلومات الاستخبارية والقتالية التي ما زالت متخلفة مقارنة بنظيرتها الأمريكية.
- ويشير خبير الصناعات العسكرية في المعهد الدولي للدراسات الاستراتيجية، دوغلاس باري، إلى أن "واحدا من الدروس المستفادة من حرب ليبيا، هو أن الأوروبيين بحاجة إلى سد الفجوة في قدرات الأنظمة الاستخباراتية والتجسسية بأسرع وقت ممكن".
- وتحاول شركات الأسلحة الأوروبية إقناع زبائنها بشراء الطائرات الجوية بدون طيار، لكن تفوق الولايات المتحدة في هذا المجال صعب عليهم المهمة. ويبدو أن معركة ليبيا يمكن أن تحدث تغييرا، حيث أعلنت بريطانيا وفرنسا عن خطط لتطوير مشترك لطائرة بدون طيار تدعى "تليموس". وقد يعتمد هذان البلدان، اللذان يستحوذان معا على أكثر من نصف الإنفاق العسكري الأوروبي، على شركتي "بي ايه اي سيستمز" و"داسو" للطيران لتطوير الطائرة.
- ولا يقتصر الترويج الأوروبي للأسلحة على المقاتلات، بل طال الصواريخ الطويلة والمتوسطة المدى التي استخدمها الأوروبيون لضرب أهداف في ليبيا، فصواريخ "بريمستون" تتميز بأنها فائقة الدقة وقد استخدمت لتدمير أهداف صغيرة في ليبيا دون أن تسبب أضرارا أو وفيات بالمكان المحيط بالهدف. وأكد مسؤول كبير في الطيران الملكي البريطاني أن وزارتي الدفاع الفرنسية والأمريكية قد أعربتا عن رغبتهما في اقتناء هذا النوع من الصواريخ، إلا أن تحقيقها المزيد من النجاح في ليبيا سيزيد عدد الطلبيات المؤكدة.
من ناحية اخرى أكد وزير الخارجية الفرنسي، ألان جوبيه، الاثنين، أن هناك اتصالات بين ممثلين للنظام الليبي والمعارضة تتصل خصوصا بمصير العقيد الليبي، معمر القذافي.
- وقال وزير الخارجية الفرنسي ، في تصريح لبرنامج تلفزيوني إن هذه الاتصالات قد جرت إلا أنه لا يعلم تفاصيلها تماما، وقال "هذه الاتصالات قد حصلت، لا أعلم تفاصيلها بطبيعة الحال، أعلم أنها تناولت مثلا مصير القذافي نفسه وهي إحدى القضايا المركزية اليوم قبل الانتقال من المرحلة العسكرية إلى المرحلة السياسية".
- وأكد الوزير الفرنسي مجددا على ضرورة تنحي القذافي عن مسؤولياته المدنية والعسكرية، وأن عليه أن يعلن مغادرة السلطة، موضحا عدم وجود أي انقسام داخل التحالف الدولي حول ضرورة زيادة الضغط العسكري في ليبيا.
domenica 26 giugno 2011
14 à 18 mille personnes seront exclues des élections du 23 octobre
Entre 14 mille et 18 mille responsables du RCD dissous, personnes ayant appelé le président déchu pour un nouveau mandat présidentiel en 2014 et membres des gouvernements de l'ancien régime, seront exclus, en tant qu'électeurs ou candidats, des élections de l'Assemblée nationale constituante le 23 octobre prochain, apprend l'agence TAP de source responsable de la commission chargée de l'application de l'article 15 du décret loi sur l'élection de la constituante.
Dans une déclaration à l'agence TAP, M. Mustapha Tlili, président de la commission a, pour sa part, indiqué que la commission s'emploie à identifier les responsabilités et établir en conséquence la liste des membres du RCD dissous concernés par la mesure d'exclusion.
L'objectif de la commission n'est pas "d'extirper tous ceux qui ont adhéré au RCD et de se venger de ceux qui ont porté du tort au peuple", a-t-il affirmé, relevant que le jugement est du ressort exclusif du système judiciaire, ce qui explique "le caractère secret du travail de la commission".
Il a affirmé que l'exclusion des suppôts du système déchu de l'élection de l'Assemblée nationale constituante est "une victoire du peuple tunisien et de sa glorieuse révolution".
La mesure d'exclusion concernant le RCD dissous devrait toucher les membres du bureau politique, du comité central, des comités de coordination et des fédérations, des présidents des cellules territoriales, des fédérations et des cellules professionnelles, ainsi que des fonctionnaires administratifs du RCD qui ont joué un rôle majeur de mobilisation en faveur du parti, indique, d'autre part, M. Mohamed Ali El Hani, membre de la commission.Le nombre des responsables du RCD dissous concernés par l'exclusion devrait atteindre 7 mille à 9 mille, le même nombre que celui des personnes ayant appelé le président déchu pour un nouveau mandat présidentiel en 2014, soit au total entre 14 mille et 18 mille personnes, a-t-il précisé.
Dans une déclaration à l'agence TAP, M. Mustapha Tlili, président de la commission a, pour sa part, indiqué que la commission s'emploie à identifier les responsabilités et établir en conséquence la liste des membres du RCD dissous concernés par la mesure d'exclusion.
L'objectif de la commission n'est pas "d'extirper tous ceux qui ont adhéré au RCD et de se venger de ceux qui ont porté du tort au peuple", a-t-il affirmé, relevant que le jugement est du ressort exclusif du système judiciaire, ce qui explique "le caractère secret du travail de la commission".
Il a indiqué que la commission est en train d'établir, également, la liste des personnes qui avaient appelé le président déchu à se présenter pour le nouveau mandat présidentiel 2014-2019. A cet effet, le président de l'Instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, la réforme politique et la transition démocratique demandera, dans les tout prochains jours, à des organismes officiels la liste complète de ces personnes afin de la mettre à la disposition de l'Instance supérieure indépendante pour les élections.
Il a affirmé que l'exclusion des suppôts du système déchu de l'élection de l'Assemblée nationale constituante est "une victoire du peuple tunisien et de sa glorieuse révolution".
La mesure d'exclusion concernant le RCD dissous devrait toucher les membres du bureau politique, du comité central, des comités de coordination et des fédérations, des présidents des cellules territoriales, des fédérations et des cellules professionnelles, ainsi que des fonctionnaires administratifs du RCD qui ont joué un rôle majeur de mobilisation en faveur du parti, indique, d'autre part, M. Mohamed Ali El Hani, membre de la commission.
Giugno 1991
Venti anni fa, una storia passata veloce, dimenticata da molti. La separeazione della Slovenia dalla Yugoslavia. Mi ricordo di quei giorni come fosse oggi. Mia nonna viveva in un paesino al confine tra Slovenia e Croazia, Jelsane, 45 km dal confine con l'Italia. Le milizie serbe non volevano lasciare che la Slovenia ottenesse l'indipendenza, un territorio ben sviluppato al confine con l'Europa. Un angolo di mondo con grandi potenzialità, sbocco sull'Italia, l'Ungheria e l'Austria. I carri armati avevano raggiunto i confini, gli aerei da guerra sorvolavano il paese. A Jelsane la gente piangeva, avevano paura dei bombardamenti, delle ripercussioni delle milizie serbe rinomate per stupri ed altra atrocità.
Si raccontava che l'esercito fosse rimasto a lungo confinato in una regione remota al confine con la Macedonia e che gli fosse stato detto che l'Italia stava programmando di invadere la Yugoslavia.
Era il periodo dei francobolli, delle comunicazioni radio, internet e facebook non esistevano ancora.
Il dinaro in poco tempo aveva subito una svalutazione da paura, le banconote venivano ristampate aggiungendo "zeri" fino al punto che ci voleva un milione per fare la spesa. Quando sono andata in banca a chiudere il conto corrente per paura che lo stato li bloccasse, mi hanno consegnato "una borsa" di soldi, mia nonna non era una migliardaria.
Al confine la situazione era incerta e si alternavano la Milica e soldati dell'esercito. Quando la situazione è diventata insostenibile abbiamo deciso di far venire la mia nonnina a Trieste, da noi. Un viaggio in ambulanza da Jelsane a Ilirska Bistrica e poi fino a Kozina, le macchine civili non potevano circolare, posti di blocco con tanto di mitragliatrici (oggi li chiameremmo check point), carri armati per le strade.
Giugno - Luglio 1991.
Se andate oggi in Slovenia, dal valico di Basovica ad esempio, quando passate in macchina si "sente ancora" il lumore dei cingoli dei carri armati lasciati sull'asfalto.
Foto di Davorin Križmančič
sabato 25 giugno 2011
L'invasione della Tunisia
Avete mai pensato a cosa succederebbe in Italia se 500.000 persone arrivassero inValle d’Aosta dalla Francia. Mi ricordo un anno a Trieste c’è stato il Raduno Nazionale degli Alpini che hanno invaso la città, c’erano tende, camper e gente che dormiva d’appertutto. E’ stata una festa bellissima, è durato qualche giorno, poi sono rientrati tutti. Mi ricordo delle cucine da campo in città, di una marea umana che passeggiava giorno e notte.
Trasferite quest’immagine a Djerba e sostituite gli alpini con i rifugiati libici, meno ordinati, con moltissimi bambini ed allungate la loro permanenza a 4 mesi, il risultato fà paura. L’invasione della Libia in Tunisia. Macchina dopo macchina, rifugiato dopo rifugiato ci ritroviamo con la popolazione dell’isola aumentata di 6.000 unità. I turisti sono pochissimi, gli alberghi sono semi vuoti, gli italiani si contano sulle dita. Il tanto atteso rilancio del turismo dopo la rivoluzione è morto.
Il grande slancio di generosità del popolo tunisino verso i fratelli libici sta raggiungendo il limite di guardia. Uscire a Houmt Souk è un’impresa. I rifugiati hanno affittato tutti gli appartamenti e le case disponibili; li incontri d’appertutto, con i loro modi di fare, di parlare, di guidare. Gli approviggionamenti dell’isola difficilmente riescono a far fronte alle esigenze di tutta questa gente. Lo zucchero è diventato merce rara. Molti libici vivono qui ospiti di famiglie tunisine, molti hanno grosse disponibilità economiche.
Il 17 giugno una notizia interessante, della quale si è parlato poco o niente, aveva incuriosito tutti. Un accordo tra un "Presidente delle cliniche private in Tunisia" e Gheddafi prevedeva che il Rais prendessi in carico il pagamento di tutte le spese mediche, case, alberghi e disagi causati dal suo popolo alla Tunisia. Attenzione per "suo popolo" veniva specificato sostenitori del regime e ribelli. Si era parlato di propagnanda, di una mossa disperata per riguadagnare i consensi della popolazione, poi la storia è stata dimenticata. Ma questo accordo sembra esista veramente, chi l'abbia fatto e con quale referente qui, nessuno lo sa. Risultato: quando i feriti venivano portati oltre la frontiera venivano curati nelle strutture di Ramada, Tataouine, Sfax, Gabes, Djerba, erano sempre strutture statali coperte quindi da fondi del Ministero della Salute, le prestazioni costavano poco. Oggi ho visto l'intervista a 6 ribelli, in clinica privata a Tunisi. Raccontavano di essere arrivati in "aereo", di avere tutto pagato: medicinali, posto letto, interventi chirurgici, medici e anche una casa per quando saranno dimessi. Erano in clinica da 10 giorni. Cos'è successo nelle ultime due settimane di cui non siamo al corrente.
Sono usciti diversi articoli sui giornali italiani che parlano di rifugiati a 5 stelle ma nessuno si è chiesto da dove vengano i soldi per pagare tutto questo. Se prima si giustificava la cosa dicendo sono pro-Gheddafi, oggi anche si ribelli si riservano trattamenti di lusso. Mi correggo non a tutti i ribelli, i bambini che noi aiutiamo con convogli umanitari spontanei sono ancora là a Dhiba, Ramada e Tataouine nei campi con 40° all'ombra, che differenza c'è, se il regime è così attento alle esigenze del suo popolo, gli è forse sfuggito che 60.000 dei suoi "fratelli" vivono in condizioni estremamente disagiate, o quelli li lasciamo come giocattolo alle associazioni umanitarie?
Trasferite quest’immagine a Djerba e sostituite gli alpini con i rifugiati libici, meno ordinati, con moltissimi bambini ed allungate la loro permanenza a 4 mesi, il risultato fà paura. L’invasione della Libia in Tunisia. Macchina dopo macchina, rifugiato dopo rifugiato ci ritroviamo con la popolazione dell’isola aumentata di 6.000 unità. I turisti sono pochissimi, gli alberghi sono semi vuoti, gli italiani si contano sulle dita. Il tanto atteso rilancio del turismo dopo la rivoluzione è morto.
Il grande slancio di generosità del popolo tunisino verso i fratelli libici sta raggiungendo il limite di guardia. Uscire a Houmt Souk è un’impresa. I rifugiati hanno affittato tutti gli appartamenti e le case disponibili; li incontri d’appertutto, con i loro modi di fare, di parlare, di guidare. Gli approviggionamenti dell’isola difficilmente riescono a far fronte alle esigenze di tutta questa gente. Lo zucchero è diventato merce rara. Molti libici vivono qui ospiti di famiglie tunisine, molti hanno grosse disponibilità economiche.
Il 17 giugno una notizia interessante, della quale si è parlato poco o niente, aveva incuriosito tutti. Un accordo tra un "Presidente delle cliniche private in Tunisia" e Gheddafi prevedeva che il Rais prendessi in carico il pagamento di tutte le spese mediche, case, alberghi e disagi causati dal suo popolo alla Tunisia. Attenzione per "suo popolo" veniva specificato sostenitori del regime e ribelli. Si era parlato di propagnanda, di una mossa disperata per riguadagnare i consensi della popolazione, poi la storia è stata dimenticata. Ma questo accordo sembra esista veramente, chi l'abbia fatto e con quale referente qui, nessuno lo sa. Risultato: quando i feriti venivano portati oltre la frontiera venivano curati nelle strutture di Ramada, Tataouine, Sfax, Gabes, Djerba, erano sempre strutture statali coperte quindi da fondi del Ministero della Salute, le prestazioni costavano poco. Oggi ho visto l'intervista a 6 ribelli, in clinica privata a Tunisi. Raccontavano di essere arrivati in "aereo", di avere tutto pagato: medicinali, posto letto, interventi chirurgici, medici e anche una casa per quando saranno dimessi. Erano in clinica da 10 giorni. Cos'è successo nelle ultime due settimane di cui non siamo al corrente.
Sono usciti diversi articoli sui giornali italiani che parlano di rifugiati a 5 stelle ma nessuno si è chiesto da dove vengano i soldi per pagare tutto questo. Se prima si giustificava la cosa dicendo sono pro-Gheddafi, oggi anche si ribelli si riservano trattamenti di lusso. Mi correggo non a tutti i ribelli, i bambini che noi aiutiamo con convogli umanitari spontanei sono ancora là a Dhiba, Ramada e Tataouine nei campi con 40° all'ombra, che differenza c'è, se il regime è così attento alle esigenze del suo popolo, gli è forse sfuggito che 60.000 dei suoi "fratelli" vivono in condizioni estremamente disagiate, o quelli li lasciamo come giocattolo alle associazioni umanitarie?
A Ramada è arrivato il Presidente dell'Alto Commissariato delle Nazioni Unite per i Rifugiati per ringraziare il popolo tunisino per l'esempio di solidarietà dimostrato nei confronti di questa popolazione in fuga. Il suo viaggio poi è continuato verso Djerba, destinazione Hotel Radisson 5*, dove del resto risiedono molti libici del regime di Gheddafi.
Mi chiedo se un giorno riusciremo a capire i meccanismi di questa guerra o di questa grande "messa in scena" che usa la vita delle persone come pedine, le stesse pedine che "un" Gheddafi spostava sulla scacchiera a Tripoli durante la visita del Presidente dell'Associazione Mondiale degli Scacchi. Realtà o finzione.
Cliniche di Tunisi: ribelli ospitalizzati
Intervista ad alcuni ribelli in cura presso la clinica Taoufik di Tunisi. Provengono da Misurata, raccontano del loro ferimento in battaglia, poi le prime cure all'ospedale di Misurata. Sono stati successivamente trasferiti in arereo a Tunisi, ancora operati e ora si stanno ristabilendo. Dicono che "tutto è pagato", elogiano la disponibilità e la generosità dei tunisini che li stanno aiutando. Hanno anche delle case in cui rimanere a Tunisi. La clinica Taoufik è una clinica privata della capitale, una delle migliori, tutti i servizi sono a pagamento, non è una struttura pubblica.
questo è il video delle interviste
http://www.youtube.com/watch?v=4nVTbWPvKls
Un'altra clinica a Tunisi con feriti dalla Libia (ribelli): Clinica Dehfaf Bohayra, Lac Tunisi
http://www.youtube.com/user/Patriots1Of7Misratah#p/a/u/0/IfmTnyRLhVg
Ci sta sfuggendo qualche cosa?
questo è il video delle interviste
http://www.youtube.com/watch?v=4nVTbWPvKls
Un'altra clinica a Tunisi con feriti dalla Libia (ribelli): Clinica Dehfaf Bohayra, Lac Tunisi
http://www.youtube.com/user/Patriots1Of7Misratah#p/a/u/0/IfmTnyRLhVg
Ci sta sfuggendo qualche cosa?
Nazionale libica: giocatori raggiungono i ribelli a Nalut
Al Arabija
http://www.youtube.com/user/AlArabiya?feature=uploademail_ch#p/u/2/FcZL6kCv_0U
video arrivo giocatori a Nalut
http://www.youtube.com/user/mohamed2011Libyan?feature=uploademail_ch#p/u/2/5K_c1OwSMJ4
Libia: anche il mondo del calcio si oppone
in fuga pure l'allenatore dell'Al Ahly di Tripoli, Adel Bin Issa
Libia: anche il mondo del calcio si oppone
a Gheddafi, in 17 si uniscono ai ribelli
Tra loro 4 calciatori della Nazionale tra cui il portiere Juma Gtat: «Liberi di costruire una Libia libera» e ancora Jamal Bonowarh Hafeez Arbich, Samir, Ahmed Kraua.
Anche il calcio libico alla fine si è ribellato al Colonnello. Diciassette personaggi di primo piano del calcio libico, tra cui alcuni esponenti di primo piano della Nazionale, si sono infatti uniti alla rivolta contro Gheddafi. La defezione dei calciatori è solo l'ultima a colpire le file del regime del colonnello Gheddafi, già abbandonato da ministri, diplomatici, alti ranghi militari.
http://www.youtube.com/user/AlArabiya?feature=uploademail_ch#p/u/2/FcZL6kCv_0U
video arrivo giocatori a Nalut
http://www.youtube.com/user/mohamed2011Libyan?feature=uploademail_ch#p/u/2/5K_c1OwSMJ4
Libia: anche il mondo del calcio si oppone
a Gheddafi, in 17 si uniscono ai ribelli
Tra loro 4 calciatori della Nazionale tra cui il portiere Juma Gtat: «Liberi di costruire una Libia libera»
in fuga pure l'allenatore dell'Al Ahly di Tripoli, Adel Bin Issa
Libia: anche il mondo del calcio si oppone
a Gheddafi, in 17 si uniscono ai ribelli
Tra loro 4 calciatori della Nazionale tra cui il portiere Juma Gtat: «Liberi di costruire una Libia libera» e ancora Jamal Bonowarh Hafeez Arbich, Samir, Ahmed Kraua.
Anche il calcio libico alla fine si è ribellato al Colonnello. Diciassette personaggi di primo piano del calcio libico, tra cui alcuni esponenti di primo piano della Nazionale, si sono infatti uniti alla rivolta contro Gheddafi. La defezione dei calciatori è solo l'ultima a colpire le file del regime del colonnello Gheddafi, già abbandonato da ministri, diplomatici, alti ranghi militari.
venerdì 24 giugno 2011
Tunisie. Ouverture bientôt d’un consulat honoraire suisse à Djerba
Un nouveau bureau consulaire sera ouvert prochainement à l’île de Djerba. Le locataire des lieux: Rachid Abdelkébir, un Tunisien marié à une suissesse allemande.
A cette occasion, Pierre Combernous, ambassadeur de Suisse en Tunisie, donnera une conférence de presse, samedi 25 juillet, à l’hôtel Sheraton de Tunis. La conférence portera sur les prérogatives de ce nouveau bureau consulaire, les relations suisso-tunisiennes, l’appui du gouvernement suisse à la Tunisie dans sa phase de transition démocratique ainsi que des perspectives touristiques bilatérales.
A cette occasion, Pierre Combernous, ambassadeur de Suisse en Tunisie, donnera une conférence de presse, samedi 25 juillet, à l’hôtel Sheraton de Tunis. La conférence portera sur les prérogatives de ce nouveau bureau consulaire, les relations suisso-tunisiennes, l’appui du gouvernement suisse à la Tunisie dans sa phase de transition démocratique ainsi que des perspectives touristiques bilatérales.
Tunisie-Libye: Djerba, refuge cinq étoiles pour immigrés nantis
Située à deux heures de la frontière libyenne, l’île tunisienne de Djerba accueille de plus en plus de nantis libyens fuyant la guerre. Voire des proches du pouvoir ayant fait défection. Reportage.
Peu avant l’heure du déjeuner, un verre de chardonnay à la main, Absi et son ami Omar racontent comment ils ont fui la Libye pour atterrir dans cet hôtel de luxe tunisien, où ils lézardent au bord de la piscine au milieu des chaises longues. Omar, originaire de Benghazi, foyer de la rébellion, explique dans un anglais parfait comment il a débarqué sur l’île de Djerba pour échapper à « l’horrible épreuve » qu’est la vie sous le régime de Mouammar Kaddafi. « Le pays n’a pas l’air d’aller très bien en ce moment », ironise-t-il, avant de s’excuser et de prendre congé.Exode massif
Il est facile de deviner pourquoi Djerba, située à deux heures de route et de pont de la frontière libyenne, attire autant les élites cultivées, aisées et mobiles à la recherche d’un refuge confortable pour fuir la guerre civile. Sur l’île des mangeurs de lotus de la mythologie classique, villas, hôtels et discothèques rassemblent désormais opposants, partisans et responsables du régime libyen pour un étrange jeu de rôle sur fond de fin de conflit. « Il y a beaucoup de Libyens qui viennent ici à cause de la crise, explique Oussama, un technicien arrivé de Tripoli. Certains pour se faire hospitaliser parce qu’il n’y a plus de services de santé en Libye, d’autres pour se ravitailler, d’autres encore parce qu’ils ont peur de rentrer chez eux. »
L’afflux vers Djerba est le résultat de l’exode massif vers l’étranger de plus de 100 000 Libyens, selon des chiffres de l’ONU. Ceux qui ont choisi de venir à Djerba ne sont pas tous riches, mais l’île est un lieu attrayant pour quiconque a un peu d’argent, en raison de sa proximité, des vols internationaux et des services de qualité destinés au marché touristique occidental. Aujourd’hui, les groupes de vacanciers européens avides de soleil qui se pressent dans les hôtels de Djerba ont été rejoints par une nuée de Libyens plutôt aisés, reconnaissables à leurs voitures haut de gamme aux plaques minéralogiques blanches. « Toutes les belles voitures sont libyennes », fait remarquer un Tunisien qui contemple rêveusement le parking d’un hôtel bondé de véhicules venus de l’autre côté de la frontière.
Profil bas
Beaucoup de Libyens affirment qu’ils pourraient prolonger leur séjour à Djerba en attendant la fin des frappes de l’Otan. Certains envisagent même de faire venir leurs proches. Un homme assure vouloir exfiltrer ses jeunes fils, au cas où ils seraient obligés d’aller se battre. Dans le hall de l’hôtel Radisson Blu, Ahmed, un importateur de produits électroniques, explique qu’il songe lui aussi à faire venir ses deux enfants. Il a réalisé que la guerre entre le régime et les rebelles pouvait encore durer un an. « Les bombardements vont s’intensifiant, souligne-t-il. Je ne suis ni pour ni contre Kaddafi, je veux juste être en sécurité. »
Devant le Radisson, une voiture du gouvernement libyen vient rappeler les rumeurs qui ont circulé à propos de l’arrivée de hauts fonctionnaires de la Jamahiriya et même de la femme du colonel Kaddafi, Safia, ainsi que de sa fille, Aïcha. Dans les hôtels et cliniques où des figures du régime seraient descendues, la méfiance et le déni sont de mise. Vu les spéculations insistantes sur la présence de riches et puissants acolytes de Kaddafi, il est en tout cas surprenant de ne pas en croiser sur place. Le directeur d’un hôtel affirme que des dizaines de clients libyens – notamment des partisans du régime – font profil bas parce qu’ils sont en territoire inconnu et redoutent que des ennemis politiques ne les repèrent. « Certains disent qu’ils sont contre Kaddafi, raconte-t-il. Mais quand on les entend parler entre eux, les mêmes disent qu’ils le soutiennent. »
Oiseaux de nuit
Des habitants de l’île et des Libyens prétendent que des personnes aisées proches du régime préservent leur intimité en louant des villas, tandis qu’un homme affirme que les partisans du colonel Kaddafi sont des noceurs que l’on croise rarement dans la journée : « Ils ne sortent que la nuit pour noyer leurs soucis dans l’alcool. »
C’est au casino, où les machines à sous ont été installées à l’entrée, près de la sécurité, que nous avons croisé les premiers Libyens loquaces. Ce sont deux opposants au régime qui insistent pour régler leurs boissons. Alors que l’air de Killing Me Softly With His Song résonne en arrière-fond, l’un des hommes, prénommé Omar, laisse entendre qu’il rechigne autant que la plupart de ses compatriotes à quitter ce petit coin de paradis pour retourner à Tripoli : « Kaddafi va y faire couler beaucoup de sang avant de s’en aller. Je ne m’y sens guère en sécurité. »
Fonte: Financial Times et Jeune Afrique 2011
SONEDE: L’eau potable coulera de nouveau à Djerba ce dimanche
La Société Nationale d’Exploitation et de Distribution des Eaux (Sonede) informe sa clientèle dans les zones hautes de Gachein, Welegh, Skala, El-May, Bouchaouet et El Karchoua à Djerba (gouvernorat de Médenine) que la distribution de l’eau sera normalement rétablie à partir de ce Dimanche 26 Juin 2011.
Hier, dans un communiqué rendu public,à Tunis,la société rappelle que des coupures successives d’électricité ont été enregistrées au site de production de Médenine durant la journée de Vendredi 10 Juin 2011, et ce, de 09h00 jusqu’à 17h00, provoquant une prise d’air des conduites principales et une diminution du débit d’écoulement de l’eau dans les zones citées.
Hier, dans un communiqué rendu public,à Tunis,la société rappelle que des coupures successives d’électricité ont été enregistrées au site de production de Médenine durant la journée de Vendredi 10 Juin 2011, et ce, de 09h00 jusqu’à 17h00, provoquant une prise d’air des conduites principales et une diminution du débit d’écoulement de l’eau dans les zones citées.
Onu: Tunisia ratifica Cpi
(ANSA) - NEW YORK, 24 GIU - La Tunisia post-Ben Ali ha deciso di aderire alla Corte Penale Internazionale (Cpi), e' il primo Paese del Nord Africa a farlo. L'annuncio e' stato dato oggi all'Onu dall'ambasciatore tunisino Ghazi Jomaa: ''Senza la protezione dei diritti umani, non c'e' ne' liberta' ne' dignita'''. La Tunisia sara' il primo paese del Nord Africa (e il quarto della Lega Araba) a sottoscrivere lo Statuto di Roma, il documento che ha fatto nascere il tribunale con sede a L'Aja.
Fonte: (ANSA)
Fonte: (ANSA)
Tunisie - Camps des réfugiés: A Ras Jédir l'armée ne sait plus où donner de la tête..., quand les ONG paradent
Fidélité, devoir, respect, service désintéressé, honneur, intégrité et courage personnel… voilà les valeurs et les qualités du bon soldat. L’Armée nationale a prouvé sa capacité à être fidèle à la nation et à son héritage. Avant nous ne la connaissions pas ou si peu. «Lors d’un récent déplacement en France, nous avons donné une leçon au monde entier en matière de droits de l’homme, de civisme, et de savoir-faire. Nous avons suscité l’admiration de nos vis-à-vis étrangers», témoigne un Colonel, cadre médical de l’armée.
L’armée, qui s’est beaucoup investie dans le maintien de l’ordre, la préservation de l’unité nationale et la protection des institutions et biens publics depuis la révolution, n’a pas eu le temps de reprendre son souffle qu’elle devait déjà gérer les camps des réfugiés arrivant de Libye.
550.000 réfugiés ont franchi les frontières depuis le mois de février. Nombre d’entre eux sont rentrés dans leur pays, d’autres en provenance de pays africains refusent de partir. Parmi eux, il y en a qui sont atteints de maladies contagieuses et ont besoin de toute l’aide et l’assistance, non pas de l’armée tunisienne, mais de celles du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), de l'Organisation internationale pour les migrations et celles des ONG et autres organisations humanitaires.
Dans le statut du HCR, nous pouvons lire: le Haut Commissariat pour les Réfugiés doit chercher des solutions au problème des réfugiés en collaboration avec les gouvernements, les organisations intergouvernementales et les organisations privées. Ce travail est rendu indispensable en cas d’augmentation du nombre des réfugiés. Le rôle des ONG est fondamental dans l'action du HCR. Les ONG locales servent d'antenne de renseignements et assurent l'assistance des réfugiés. Dans des situations d'urgence, comme celle de la Tunisie, les grandes ONG internationales, au fonctionnement plus souple que le HCR, et disposant de ressources importantes, peuvent apporter très rapidement les premiers secours.
Des ONG hyper payées, absentes du terrain
Sur terrain, la situation est loin d’être aussi idyllique. Les ONG, leurs représentants, leurs personnels hyper payés, résident dans des hôtels climatisés, se déplacent dans des véhicules confortables, et présentent des shows très convenables, dès qu’il y a des représentants des médias. Le mondain, ça les connaît, assure Siwar, journaliste de Radio Gafsa qui s’est rendue à Ras Jédir et qui a enregistré des témoignages de militaires sur place: «Seules les ONG qui viennent des Emirats arabes unis assurent».
Est-ce à l’armée tunisienne d’assumer la charge des réfugiés, d’assurer leur hébergement, leur nourriture et les soins médicaux? «Ce n’est pas notre rôle», déclare un colonel de l’armée de terre. «Nous avons le devoir de protéger nos frontières, de nous occuper de nos soldats et de préserver notre souveraineté, notre honneur, le sol national et la sacralité de nos frontières. Aujourd’hui, nous sommes contraints de manager nous-mêmes ces camps, juste pour protéger le pays des épidémies, du sida, de l’hépatite, de la tuberculose, et j’en passe. Et c’est ce qui nous pousse à travailler jusqu’à épuisement».
Ce que ne dit pas ce haut gradé, c’est qu’ils sont sous-payés et que dans l’armée, on ne compte ni les heures ni les efforts supplémentaires. Chez eux, le service est désintéressé, le bien-être de la nation passe avant le leur, c’est le leitmotiv. Pendant ce temps, les ONG paradent devant les télévisions et les radios faisant des déclarations et annonçant des réalisations, sans oublier bien sûr d’organiser des conférences. Il faut bien dépenser l’argent et justifier les dépenses! L’armée, elle, n’a pas des traditions de communication ou de publicité. A l’armée, on travaille et on se tait!
220 blessés ont été opérés à Chiba, par les chirurgiens de l’armée nationale au prix de leur santé eux-mêmes et dans des conditions d’hygiènes difficiles. C’est la foi dans la patrie et dans le système qui motive soldats, sous-officiers et officiers. Le devoir du système est de ne pas les abandonner et reconnaître leurs actions.
«C’est notre pays, et notre terre, ils méritent tous les sacrifices»
«Dans une situation telle que celle que traverse aujourd’hui la Tunisie, il devrait y avoir un haut responsable pour gérer les ONG. Il superviserait deux structures: l’une chapeautant les organismes nationaux qui comprennent le Croissant rouge tunisien, la santé publique et la Samu et l’armée. L’autre dédiée aux organismes internationaux sans oublier des personnes qui s’occuperaient des médias et des politiciens. Dans toutes ces structures, il faut qu’il y ait des représentants des ministères de la Santé publique, des Affaires sociales, de l’Environnement, de l’Equipement et des autres ministères. Quelqu’un s’est-il seulement posé la question sur où vont les aides qui arrivent tout le temps dans les camps. Comment elles sont comptabilisées, vers qui elles sont orientées si elles sont utilisées à bon escient et dans quel cadre organisationnel?», déplore un officier en poste à Choucha qui ajoute: «Et tous ces comités de protection de la révolution, de soutien à la Libye, d’aides et d’autres qui arrivent ici et installent des camps, qui nous assure qu’ils sont aussi patriotes qu’ils le prétendent, quelles sont nos garanties que ce ne sont pas des espions? Ou des personnes mal intentionnées? Devons-nous croire et donner carte blanche à tous ceux qui se présentent aux camps et disent être des médecins, des chirurgiens ou des cadres médicaux? Il est grand temps de désigner des responsables pour gérer tout ce va et vient».
Au Camp de Réfugiés de Choucha, il n’y a pas de représentants du ministère des Affaires sociales pour gérer les aides, il n’y a pas de pharmaciens pour décider si un médicament doit ou non être utilisé. «Il y a des médicaments qui arrivent de partout, quelles sont nos garanties qu’ils ne sont pas nocifs? Et que les dates de prescription, les effets secondaires y sont vérifiés et respectés?»
Les organisations internationales qui se déplacent dans les camps veulent des chiffres. C’est ce que vient de faire l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) laquelle, au lieu de se ramener avec ses staffs, sa logistique et les moyens énormes dont elle dispose pour observer et évaluer par elle-même ce qui s’y passe, a voulu tout juste s’informer auprès de…l’armée: «Un responsable de l’OMS s’est présenté au camp et nous a demandé de lui remettre les statistiques des personnes que nous avons examinées. Ne devait-il pas être présent avec nous sur terrain? Nous avons dû éclairer sa lanterne en lui précisant que parmi les 3.500 personnes examinées, 70% étaient atteintes du Sida!».
En matière de communication, les représentants des organismes internationaux sont très forts. Des présentations en 3D des chiffres et des faits, mais sur terrain, rien, nothing, niente… Leurs soucis sécuritaires personnels prévalent alors que «dans une situation d’exception, l’insécurité existe. Dans pareil cas, les réfugiés sont des personnes complètement désemparées et fragilisées sur le plan psychologique».
A Dhiba ou Ramada, les ONG sont totalement absentes, les soldats, eux, passent leurs jours et nuits dans des fossés pour protéger les frontières bravant les morsures des vipères, des scorpions ainsi que les tempêtes de sable et des conditions climatiques difficiles. Mais plus grave que cela, Kadhafi pourrait, au titre de représailles, ordonner l’ouverture des frontières laissant le champ libre aux mercenaires et milliers de réfugiés. Et là nous ne parlons pas d’une hypothèse, le risque existe bel est bien.
Malgré toutes ces conditions difficiles, l’armée résiste, ne lâche pas, ne se plaint pas, ne dénonce pas…«C’est notre pays, et notre terre, ils méritent tous les sacrifices, vous n’avez aucune idée sur ce que représente pour nous la Tunisie». Laquelle armée qui, en temps ordinaires a pour mission principale de surveiller les frontières, passe aujourd’hui la plupart du temps à gérer des camps de réfugiés. «Parmi nous, il y en a qui n’ont pas vu leurs femmes et leurs enfants depuis 5 mois et ils tiennent encore le coup».
L’armée tunisienne a prouvé qu’elle porte la nation dans son cœur, il est temps que la nation lui prouve qu’elle la porte elle aussi dans son cœur en témoignage pour la postérité. Que cette reconnaissance soit le baume au cœur de ceux qui ont été marginalisés depuis plus de 50 ans parce que leurs valeurs effrayaient la tyrannie.
Ben Ali prêt à revenir en Tunisie si on lui garantit un procès équitable, selon Me Azouri
L’ancien président tunisien, Zine El Abidine Ben Ali, est prêt à revenir en Tunisie pour assister à son procès «si les garanties d’un jugement équitable étaient réunies», selon une déclaration de son avocat libanais Akram Azouri, au journal algérien Achourouk rapportée par l’AFP.
«La décision d’assister ou non au procès, est une décision personnelle de Ben Ali. Je crois que si les garanties d’un jugement équitable sont réunies, il (Ben Ali) se présenterait devant la justice tunisienne», a indiqué Me Azouri à cette même source.
En outre, l’avocat libanais a expliqué son absence du procès le 20 juin 2011 par le refus des autorités tunisiennes de lui octroyer un visa d’entrée en Tunisie outre «le refus du bâtonnier des avocats de lui permettre de plaider pour les motifs qu’il n’est pas Tunisien et qu’il n’est pas enregistré au Conseil de l’Ordre des avocats tunisiens».
Rappelons, d’autre part et à une question concernant l’intention de Ben Ali de retourner en Tunisie pour affronter la justice tunisienne, l’avocat français Jean Yves Leborgne a répondu : « sûrement pas ». A l'exact opposé de son homologue libanais !
Fonte: businessnews
«La décision d’assister ou non au procès, est une décision personnelle de Ben Ali. Je crois que si les garanties d’un jugement équitable sont réunies, il (Ben Ali) se présenterait devant la justice tunisienne», a indiqué Me Azouri à cette même source.
En outre, l’avocat libanais a expliqué son absence du procès le 20 juin 2011 par le refus des autorités tunisiennes de lui octroyer un visa d’entrée en Tunisie outre «le refus du bâtonnier des avocats de lui permettre de plaider pour les motifs qu’il n’est pas Tunisien et qu’il n’est pas enregistré au Conseil de l’Ordre des avocats tunisiens».
Rappelons, d’autre part et à une question concernant l’intention de Ben Ali de retourner en Tunisie pour affronter la justice tunisienne, l’avocat français Jean Yves Leborgne a répondu : « sûrement pas ». A l'exact opposé de son homologue libanais !
Fonte: businessnews
La BAD engage 137 millions d'Euros pour l'autoroute Tunisie- Libye
La banque africaine de développement (BAD) a approuvé, le 21 Juin 2011, lors de la tenue de son conseil d'administration, un prêt de 137,34 millions d'Euros à la Tunisie dans le cadre du financement du projet de liaison autoroutière Gabes- Médenine-Ras Jédir.
Ce prêt, accordé à la société Tunisie Autoroutes (STA), avec garantie de l'Etat servira plus précisément à financer la construction du tronçon Médenine-Ras Jédir.
Le projet global, indique un communiqué de la BAD dont la TAP a reçu une copie, porte sur l'aménagement de 195 km de route en 2 fois 2 voies entre Gabès et Ras Jédir (frontière tuniso-libyenne).
Outre la BAD, il est cofinancé par l'agence japonaise de la coopération internationale (JICA) avec un prêt d'un montant de 133 millions d'Euros, pour le financement du tronçon Gabes-Médenine et la Tunisie autoroutes (STA) pour 180,97 millions d'Euros.
L'objectif de ce projet est de réduire les disparités régionales et d'assurer une meilleure accessibilité Nord-Sud-Est du pays. Il permettra, en outre, de réaliser, sur le territoire tunisien, un chaînon essentiel de l'autoroute transmaghrébine, contribuant ainsi à l'intégration économique régionale des pays de l'Union du Maghreb Arabe (UMA).
Concernant le volet emploi, la réalisation de cette opération créerait, dans la zone du Sud-est de la Tunisie environ 2160 emplois directs (2000 emplois au cours de la phase de construction et 160 pendant l'exploitation), outre les postes d'emplois indirects.
A court terme, la construction de la liaison autoroutière favorisera la création d'environ 30 000 emplois dans le seul secteur touristique, précise encore le communiqué.
Ce prêt, accordé à la société Tunisie Autoroutes (STA), avec garantie de l'Etat servira plus précisément à financer la construction du tronçon Médenine-Ras Jédir.
Le projet global, indique un communiqué de la BAD dont la TAP a reçu une copie, porte sur l'aménagement de 195 km de route en 2 fois 2 voies entre Gabès et Ras Jédir (frontière tuniso-libyenne).
Outre la BAD, il est cofinancé par l'agence japonaise de la coopération internationale (JICA) avec un prêt d'un montant de 133 millions d'Euros, pour le financement du tronçon Gabes-Médenine et la Tunisie autoroutes (STA) pour 180,97 millions d'Euros.
L'objectif de ce projet est de réduire les disparités régionales et d'assurer une meilleure accessibilité Nord-Sud-Est du pays. Il permettra, en outre, de réaliser, sur le territoire tunisien, un chaînon essentiel de l'autoroute transmaghrébine, contribuant ainsi à l'intégration économique régionale des pays de l'Union du Maghreb Arabe (UMA).
Concernant le volet emploi, la réalisation de cette opération créerait, dans la zone du Sud-est de la Tunisie environ 2160 emplois directs (2000 emplois au cours de la phase de construction et 160 pendant l'exploitation), outre les postes d'emplois indirects.
A court terme, la construction de la liaison autoroutière favorisera la création d'environ 30 000 emplois dans le seul secteur touristique, précise encore le communiqué.
giovedì 23 giugno 2011
Ancora una volta a Ramada: 21 giugno 2011
Ancora un carico è partito per Ramada martedi. La raccolta continua, piano piano, meno entusiasta dell'inizio ma presenta sempre delle sporprese. Continuiamo a fare scatoloni con l'obiettivo di preparare un altro carico per i primi di luglio. La vita nei campi ha preso un ritmo stabile, quasi rassegnato. La voglia di tutti è di rientrare nelle loro case anche se questo, per ora, non è ancora possibile. I bambini orfani hanno trovato tutti una famiglia, sono stati accolti da famiglie della regione di Tataouine. Noi continuiamo nel nostro intento anche se ora i libici sono veramete tanti. Ringraziamo tutti quelli che ci aiutano con delle donazioni ma anche con le loro idee che valgono moltissimo! Un grazie particolare a Mongi che questa settimana ci ha aiutati nella consegna di un carico di prodotti per la pulizia personale e pannolini.
Douiret: spazio espositivo etnico e naturalistico
Una novità di grande interesse culturale di Douiret è la creazione di uno
SPAZIO ESPOSITIVO ETNICO E NATURALISTICO che si trova all’ingresso del pianoro d’arrivo alla cittadella.
Una esposizione di materiale letterario, fotografico dai contenuti indispensabili per coloro che vogliono conoscere il deserto e la storia locale.
Un itinerario scientifico che si svolge all’interno di vaste grotte comunicanti
Un luogo in cui si esprime il deserto in molte delle sue forme.
Un punto di dialogo e di incontro tra la cultura araba e l’occidente. Attraverso un sistema di pannelli, foto, vetrine e postazioni multimediali
L’articolazione dei temi esposti nei differenti meandri di grotta danno luogo ad un modello comunicativo complesso, differenziato per argomenti e per tipologia, che tocca la desertificazione, la morfologia del territorio, le piante e gli animali nelle loro caratteristiche di adattamento e di utilizzo (medicinale ed alimentare). L’uomo del deserto nelle differenti fasi storiche.
I Berberi e gli Arabi, due etnie che si sono amalgamate. L’economia e la composizione sociale tradizionale.
Il nomadismo ed il seminomadismo, caratteristiche che hanno segnato la vita di questi luoghi nel corso di millenni.
Lungo il percorso espositivo vengono spesso alternate informazioni di dettaglio e approfondimenti su argomenti di interesse generale e locale. Ciò consente di realizzare contestualmente una trattazione esaustiva della realtà propria del contesto ambientale specifico del sud della Tunisia.
Un ulteriore elemento fondante dello spazio espositivo di Douiret sono le isole didattiche, importanti elementi di supporto e di approfondimento allo scopo di rendere fruibile i contenuti a ricercatori e studenti i quali potranno sviluppare esperienze dirette e partecipare alla elaborazione di aggiornamenti e nuovi temi.
La visione della esposizione permetterà al visitatore di approfondire la conoscenza del deserto e la storia, i valori del patrimonio storico, etnico architettonico e archeologico del sud Tunisia e del Sahara in generale.
L'autore:Marino Alberto Zecchini
Telefonata di Gheddafi 22 giugno 2011
telefonata di Gheddafi 22 giugno 2011
http://www.youtube.com/watch?v=mM6xF3Ac81s&feature=player_embedded
LIBYAN leader Muammar Gaddafi says he has his "back to the wall" but does not fear death, as NATO insists there will be no let-up in its air war despite Italian calls for a cessation.
"We will resist and the battle will continue to the beyond, until you're wiped out. But we will not be finished," Gaddafi said in an audio message broadcast on Libyan TV late yesterday."There's no longer any agreement after you killed our children and our grandchildren ... We have our backs to the wall. You (the West) can move back," the strongman said in homage to his comrade Khuwildi Hemidi, several members of whose family were killed Monday in reported NATO raids on his residence.
"We are not frightened. We are not trying to live or escape," Gaddafi said, denouncing what he called a crusade against a Muslim country in which civilians and children were targeted.
NATO has acknowledged that its fighter planes hit the city of Sorman, west of Tripoli, but insisted the target was military, a precision air strike against a "high-level" command and control node.
Ibrahim said the attack was on an estate belonging to Hemidi, a veteran comrade of Gaddafi.
"By what right do you target politicians and their families?" Gaddafi asked in the message. He said Hemidi's office in Tripoli had been bombed four times.
"They were looking for him because he's a hero. When they didn't find him in his office they wanted to kill him in his home," Gaddafi added, calling on the UN to send observers to confirm the NATO target was a civilian site and not a military target.
Gaddafi promised to build a monument, "the highest in North Africa", to Hemidi's four-year-old grand-daughter Khaleda, who the authorities said was killed in the raid.
"We will stay, we will resist and we will not give in. Strike with your missiles, two, three, 10 or 100 years."
His message came hours after NATO chief Anders Fogh Rasmussen vowed there would be no halt to the bombing campaign, saying more civilians would die if operations were not maintained under a UN mandate to protect Libyans from the exactions of Gaddafi's regime.
"NATO will continue this mission because if we stop, countless more civilians could lose their lives," Rasmussen said in a video statement on the NATO website.
The secretary-general did not directly refer to Italy, whose Foreign Minister Franco Frattini yesterday called for "an immediate humanitarian suspension of hostilities" in Libya.
"We have seen the effects of the crisis and therefore also of NATO action not only in eastern and southwestern regions but also in Tripoli," Frattini told a parliamentary committee in Rome.
"I believe an immediate humanitarian suspension of hostilities is required in order to create effective humanitarian corridors," while negotiations should also continue on a more formal ceasefire and peace talks, he said.
The commander of the NATO operation, Canada's Lieutenant-General Charles Bouchard, echoed Rasmussen's comments.
"I appreciate the effort of the Italian government to bring a cessation to the violence taking place and, obviously, to be able to move humanitarian assistance," Bouchard told a briefing.
But he said a ceasefire risked becoming "just an opportunity for both sides to reload and to engage in further violence down the road".
"We must continue to stay engaged to prevent that rearming," Bouchard said.
Frattini's comments had drawn a swift rebuff from NATO ally France, which has played a leading role in the military intervention in Libya.
"The coalition and the countries that met as the Abu Dhabi contact group two weeks ago were unanimous on the strategy - we must intensify the pressure on Gaddafi," foreign ministry spokesman Bernard Valero told reporters.
"Any pause in operations would risk allowing him to play for time and to reorganise. In the end, it would be the civilian population that would suffer from the smallest sign of weakness on our behalf."
The rebels fighting to end Gaddafi's four-decade rule were also dismissive of the Italian ceasefire proposal.
"Even if NATO halts operations, we will fight tooth and nail, we will fight until our country is freed, we don't fear (a NATO cessation)," rebel spokesman Mahmud Shamam said.
"The Libyan people have tasted freedom and will not accept anything less ... they will fight to the end, until victory."
In its latest operational update issued today, NATO said its fighter aircraft struck, among other targets, a radar base and a command and control node in the vicinity of Tripoli, and two radar towers near the rebel-held city of Misrata.
mercoledì 22 giugno 2011
National Forum for LibyanTribes calls for mobilization to counter NATO
News from Libya - Questioning the usefulness of the proposed initiatives to address the Libyan crisis, the National Forum for Libyan Tribes has called on Libyans to take their destiny into their own hands. In a statement released Monday by the Jamahiriya News Agency (JANA), the forum urged the Libyan authorities to 'stop paying attention to the initiatives, including those of the African Union (AU), aimed at finding a peaceful solution to the killing of Libyans.' It stressed the need for the Libyan authorities to 'take appropriate measures in mobilizing globally with a view to arming all Libyans to counter the continuing NATO operations in Libya.'
It accused NATO of intransigence in the continued bombing of residential areas which is a violation of the 1970 and 1973 resolutions of the UN Security Council.
Observers said the call by the forum followed NATO's intensified military operations in the last 48 hours in which it targeted residential neighbourhoods in the cities of Tripoli and Sorman, killing several civilians.
fonte: Afrique en ligne
It accused NATO of intransigence in the continued bombing of residential areas which is a violation of the 1970 and 1973 resolutions of the UN Security Council.
Observers said the call by the forum followed NATO's intensified military operations in the last 48 hours in which it targeted residential neighbourhoods in the cities of Tripoli and Sorman, killing several civilians.
fonte: Afrique en ligne
Libia: ministro esteri Tripoli in Tunisia
Il capo della diplomazia libica Abdelati al-Obeidi è entrato oggi in Tunisia, attraverso il posto di confine di Ras Jedir. Lo rende noto l'agenzia Tap.
La missione di Obeidi, scrive l'agenzia, è collegato agli sforzi diplomatici per trovare una soluzione al conflitto nel Paese.
Il ministro libico si è diretto verso Djerba, ma la sua destinazione finale è ignota. L'esponente del governo di Tripoli ha attraversato il Paese già diverse volte per incontrare esponenti dei Paesi africani.
L'italia e Lega Africana chiedono un immediato cessate il fuoco in Libia, Francia, Gran Breatgna e NATO dicono NO
(ANSA) - ROMA, 22 GIU - Francia, Gran Bretagna e Nato respingono la proposta del ministro degli Esteri Franco Frattini di uno stop delle ostilita' in Libia per consentire la creazione di corridoi umanitari. Secondo Parigi ''una pausa permetterebbe a Gheddafi di riorganizzarsi''. Londra ha invitato ad ''intensificare'' i raid. Mentre la Nato ha assicurato: ''Continueremo le operazioni''. La Farnesina ha poi puntualizzato che quella evocata da Frattini non era una ''proposta specifica'' ma solo ''un'ipotesi di lavoro''.
دعا وزير الخارجية الإيطالي، فرانكو فراتيني، اليوم الأربعاء، إلى "تعليق فوري للأعمال الحربية" في ليبيا، بهدف إقامة ممرات إنسانية لمساعدة السكان المدنيين، وذلك في كلمة ألقاها أمام لجنة في مجلس النواب، وفي إشارة إلى عمليات حلف شمال الأطلنطي، طالب فراتيني أيضا "بمعلومات مفصلة"، ودعا إلى "تعليمات واضحة ومحددة" بعد الأخطاء "الدراماتيكية" التي أدت إلى مقتل مدنيين.
وقال وزير الخارجية الإيطالي، أمام لجنة الشؤون الخارجية ولجنة السياسة الأوروبية عشية انعقاد المجلس الأوروبي في بروكسل: "بوضوح هذه ليست مهمة حلف شمال الأطلنطي". وأقر الحلف بأنه قتل خطأ مدنيين خلال ضربة ليلية على طرابلس الأحد الماضي، أدت إلى مقتل 9 أشخاص، بينهم 5 من أفراد عائلة واحدة.
وفي 16 يونيو ضرب حلف شمال الأطلنطي عرضا أيضا رتلا من آليات الثوار في منطقة البريقة، وكان وزير الخارجية الإيطالي قد أعلن الاثنين في لوكسمبروج أن حلف شمال الأطلنطي "يجازف بمصداقيته" عبر عدم تمكنه من تجنب الخسائر المدنية.
وإيطاليا، القوة المستعمرة السابقة لليبيا وحليفتها سابقا، تساهم في عمليات حلف شمال الأطلنطي عبر تقديم قواعدها الجوية لطائرات التحالف، كما وضعت في تصرف التحالف مقاتلاتها، وكذلك عدة سفن حربية.
The BBC reports:وقال وزير الخارجية الإيطالي، أمام لجنة الشؤون الخارجية ولجنة السياسة الأوروبية عشية انعقاد المجلس الأوروبي في بروكسل: "بوضوح هذه ليست مهمة حلف شمال الأطلنطي". وأقر الحلف بأنه قتل خطأ مدنيين خلال ضربة ليلية على طرابلس الأحد الماضي، أدت إلى مقتل 9 أشخاص، بينهم 5 من أفراد عائلة واحدة.
وفي 16 يونيو ضرب حلف شمال الأطلنطي عرضا أيضا رتلا من آليات الثوار في منطقة البريقة، وكان وزير الخارجية الإيطالي قد أعلن الاثنين في لوكسمبروج أن حلف شمال الأطلنطي "يجازف بمصداقيته" عبر عدم تمكنه من تجنب الخسائر المدنية.
وإيطاليا، القوة المستعمرة السابقة لليبيا وحليفتها سابقا، تساهم في عمليات حلف شمال الأطلنطي عبر تقديم قواعدها الجوية لطائرات التحالف، كما وضعت في تصرف التحالف مقاتلاتها، وكذلك عدة سفن حربية.
Italian Foreign Minister Franco Frattini has called for a suspension of hostilities in Libya to allow humanitarian aid to be brought to the war-torn country.
Mr Frattini also said Nato must provide data on results of its bombing campaign and guidelines on targeting errors.
Arab League Chairman Amr Moussa also urged a ceasefire on Tuesday, voicing reservations about the Nato campaign.
On Sunday a Nato missile apparently misfired striking a residential area.
The Libyan government said nine people including two young children were killed in the strike.
The alliance acknowledged that civilian casualties may have resulted from it.
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