MEDENINE (TAP) - Plus de 1230 familles libyennes sont accueillies dans les foyers tunisiens, dans la région de Médenine.
Dès les premiers jours de leur arrivée en Tunisie, ces familles ont trouvé l'aide nécessaire, en particulier la fourniture des produits de consommation courante grâce à l'élan de solidarité du peuple tunisien et aux actions humanitaires menées par les organisations nationales et le tissu associatif.
Toutefois, les stocks de denrées alimentaires commencent à s'épuiser dans les entrepôts régionaux.
MM. Mongi Slim, président du comité régional du Croissant-rouge à Médenine, et Hassen Ouederni, président de la Ligue régionale de protection de la révolution, ont souligné l'urgence de reconstituer ces stocks afin de répondre aux besoins croissants des réfugiés.
Ils ont insisté sur la nécessité d'une intervention plus accrue des organisations internationales, à travers la diversification des produits fournis par le programme alimentaire mondiale (PAM) pour englober, en plus de la farine, de l'huile et des pâtes disponibles, des conserves de tomate, du riz et du couscous.
Ils ont affirmé que la situation reste maîtrisée malgré l'interruption des interventions du Croissant-rouge international.
S'agissant de la protection sanitaire, les réfugiés bénéficient des soins gratuits dans les établissements publics de la santé qui accueillent quelque 500 réfugiés libyens par semaine, en plus des structures privées.
Des craintes sont aussi formulées concernant un éventuel manque de médicaments dans la pharmacie du croissant rouge tunisien qui assure quotidiennement l'équivalent de mille dinars de médicaments.
M. Sami Rekik, directeur régional de la santé publique à Médenine, a précisé que la situation exige une intervention rapide des organisations internationales qui ont promis d'apporter des aides sanitaires et conclu des accords dans ce sens.
Il est prévu que le Haut commissariat pour les réfugiés octroie quatre ambulances et un montant de 1 million de dinars pour l'acquisition d'équipements médicaux. D'autres aides sont programmées par l'OMS (Organisation mondiale de la santé), l'UNICEF, le Qatar et les Emirats arabes unis.
Dès les premiers jours de leur arrivée en Tunisie, ces familles ont trouvé l'aide nécessaire, en particulier la fourniture des produits de consommation courante grâce à l'élan de solidarité du peuple tunisien et aux actions humanitaires menées par les organisations nationales et le tissu associatif.
Toutefois, les stocks de denrées alimentaires commencent à s'épuiser dans les entrepôts régionaux.
MM. Mongi Slim, président du comité régional du Croissant-rouge à Médenine, et Hassen Ouederni, président de la Ligue régionale de protection de la révolution, ont souligné l'urgence de reconstituer ces stocks afin de répondre aux besoins croissants des réfugiés.
Ils ont insisté sur la nécessité d'une intervention plus accrue des organisations internationales, à travers la diversification des produits fournis par le programme alimentaire mondiale (PAM) pour englober, en plus de la farine, de l'huile et des pâtes disponibles, des conserves de tomate, du riz et du couscous.
Ils ont affirmé que la situation reste maîtrisée malgré l'interruption des interventions du Croissant-rouge international.
S'agissant de la protection sanitaire, les réfugiés bénéficient des soins gratuits dans les établissements publics de la santé qui accueillent quelque 500 réfugiés libyens par semaine, en plus des structures privées.
Des craintes sont aussi formulées concernant un éventuel manque de médicaments dans la pharmacie du croissant rouge tunisien qui assure quotidiennement l'équivalent de mille dinars de médicaments.
M. Sami Rekik, directeur régional de la santé publique à Médenine, a précisé que la situation exige une intervention rapide des organisations internationales qui ont promis d'apporter des aides sanitaires et conclu des accords dans ce sens.
Il est prévu que le Haut commissariat pour les réfugiés octroie quatre ambulances et un montant de 1 million de dinars pour l'acquisition d'équipements médicaux. D'autres aides sont programmées par l'OMS (Organisation mondiale de la santé), l'UNICEF, le Qatar et les Emirats arabes unis.
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