Le long métrage documentaire "Plus jamais peur – ou encore – No more fear" du réalisateur tunisien Mourad Ben Cheikh, inscrit à la sélection officielle de la 64ème édition du festival de Cannes, a surpris les observateurs en faisant salle comble, vendredi soir, lors de sa projection dans la salle du 60ème.
Une pléiade de professionnels du cinéma ont assisté à cette projection, tels que Tarak Ben Ammar, producteur tunisien, Thierry Frémaux délégué général du Festival, Lotfi Layouni, vice-président de la chambre syndicale des producteurs de films ainsi que du jury de la "Caméra d'Or" et de plusieurs personnalités du monde du septième art et des médias.
Les images de "Plus jamais peur" commencent par le départ de Ben Ali pour raconter durant une heure 12 minutes, et à travers les témoignages de l'opposante et avocate Radhia Nasraoui, la blogueuse Lina Ben Mhenni et le journaliste Karem Chérif, la souffrance d'un peuple de la dictature et de l'injustice qui ont perduré plus de deux décennies. "Je crois que le film apporte surtout des éclairages sur les dessous de cette révolution: ce qui a provoqué cette révolution et les raisons pour lesquelles le peuple a insisté pour le départ de Ben Ali" commente une journaliste du journal électronique Africk.com.
Notons que le festival de Cannes prendra fin dimanche soir… Les cinéastes tunisiens auront en face d’eux toute une année pour se préparer au prochain Cannes 2012.
www.tunivisions.net/
Une pléiade de professionnels du cinéma ont assisté à cette projection, tels que Tarak Ben Ammar, producteur tunisien, Thierry Frémaux délégué général du Festival, Lotfi Layouni, vice-président de la chambre syndicale des producteurs de films ainsi que du jury de la "Caméra d'Or" et de plusieurs personnalités du monde du septième art et des médias.
Les images de "Plus jamais peur" commencent par le départ de Ben Ali pour raconter durant une heure 12 minutes, et à travers les témoignages de l'opposante et avocate Radhia Nasraoui, la blogueuse Lina Ben Mhenni et le journaliste Karem Chérif, la souffrance d'un peuple de la dictature et de l'injustice qui ont perduré plus de deux décennies. "Je crois que le film apporte surtout des éclairages sur les dessous de cette révolution: ce qui a provoqué cette révolution et les raisons pour lesquelles le peuple a insisté pour le départ de Ben Ali" commente une journaliste du journal électronique Africk.com.
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